vendredi 28 novembre 2008

Un labo d'informatique...

ou un café internet? On pourrait se poser cette question en entrant dans le local d'informatique de mon école. Évidemment, c'est gratuit, à condition que l'élève soit en mesure de présenter une pièce d'identité, comme sa carte étudiante par exemple. Les ordinateurs à notre disposition, des HP pas trop récents (certains ont sept ans, d'autres un peu plus récents mais je ne saurais donner de chiffre précis) avec le système d'exploitation Windows 2000 et Office 2003. Bon, ce n'est pas si mal pour le nombre d'ordinateurs qu'on a (un peu plus de trente par pavillon, parfois cinquante, pour quatre pavillons équipés). On a accès à tout ce beau matériel, en plus d'une connexion à internet assez rapide, gratuitement, mais évidemment, il y a des règles à respecter. Sinon, ce serait le brouhaha total, non? Même avec, c'est le brouhaha total.

En secondaire un et deux, deux locaux s'offrent à nous: un premier équipé comme je l'ai dit plus haut, un autre équipé avec une vingtaine de Windows 98. Les règles sont complètes et détaillées et tous sont invités à en prendre connaissance avant d'entrer dans le local. La surveillance est rude: deux ou trois personnes patrouillent le local et s'assurent qu'aucune règle n'est enfreinte.

Cette année, nouveau pavillon, nouveau local. La surveillance reste la même: 2 élèves patrouillent le local en quête de vilains élèves (on en aura bientôt plus besoin, même! On a de magnifiques caméras pour nous aider!) délinquants. La règle d'or: les ordinateurs doivent être utilisés à des fins PÉDAGOGIQUES.

Et pourtant, on retrouve encore des élèves sur des sites de jeux, de vidéos, de messagerie instantanée, etc. Les surveillants n'en ont rien à battre pour la plupart et quand ils viennent au local, non pas en tant que surveillants mais en tant que simple élèves, ils font comme les autres.

Il y en a qui sont plus assidus dans leur surveillance, qui sont conscients de l'importance des règles du local et qui tentent de les faire respecter. Toutefois, les élèves ont trouvé mille façons d'éviter de se faire prendre. La plus simple? Ouvrir un fichier Word, taper quelques mots, puis le garder en tant que fenêtre réduite pendant qu'ils vont sur n'importe quel site à usage non-pédagogique. Quand le surveillant arrive, il suffit de changer de fenêtre et faire mine de continuer le texte maigrement entamé. Une autre technique consiste en fermer l'écran quand le surveillant passe et faire mine d'appuyer sur le bouton "Power" comme pour allumer l'ordinateur. Et certains sont encore plus fourbes. "Mais c'est pour un travail", diront-ils, alors qu'ils sont en train de regarder des vidéos sur Youtube.

Rares sont ceux qui utilisent le local judicieusement. En dehors des quelques cours où on va parfois au local pour un travail, il est ouvert tous les midis pour environ quarante minutes. En fait, les seuls midis où les élèves les utilisent à des fins pédagogiques, c'est quand il y a un travail à remettre pour la troisième période, en après-midi.

mardi 25 novembre 2008

Un petit clin d'oeil à mes camarades de classe...

pour les aider dans la présente période d'étude de la cellule. J'ai découvert, en faisant un peu de recherche, un banque de données sur la cellule très concise et détaillée. Je ne vous ferai pas de description en détail, mais voici quand même le lien.



Le site comprend des modèles tri-dimensionnels de chaque partie de la cellule, en plus des éléments du vivant et des processus de la cellule, accompagnés d'explications exhaustives. Il y a même quelques activités! Ne manquez pas non plus de consulter le glossaire!

Où sont les morceaux...

de casse-tête? Le casse-tête n'avancera pas sans morceaux! Mais un casse-tête est-il jamais fini? Oui. Celui-ci fait exception. Le casse-tête ne sera jamais vraiment fini et c'est ce qui est bien: il y aura toujours quelque chose à ajouter, cet espace vide laissé aux soins des visiteurs qui, à leur gré, apporteront un petit commentaire par ci et par là.

Bon, assez de fausse poésie. Vous aurez compris que je faisait référence à mon blog et à la baisse de la quantité d'articles. Peut-être pas significative, cette baisse, mais tout de même. Le fait est que j'ai plusieurs articles en réserve, que je garde pour quand j'aurais l'énergie et l'inspiration de les finir. Toutefois, comme je me connais, je sais que ça n'arrivera pas. Je vais oublier tous ces projets et continuer d'écrire une fois de temps en temps. Pour éviter que ça arrive, je vais vous résumer, ici-même, tous mes anciens projets. On ne commence pas un casse-tête quand il y en a qu'on a toujours pas terminés, non?


Je souhaitais vous faire un petit retour sur les deux présentations. Un "Mike, viens souper!" a suffit à me faire oublier le projet. En bref, je racontais mon expérience fructueuse autant qu'enrichissante avec les élèves de monsieur Giroux, lors de mes deux conférences avec Félix.

Plus tard, un article sur l'école, un milieu qui N'EST PAS propice à l'apprentissage. En gros, j'explique comme il est difficile de se concentrer quand c'est le chahut total en classe. "Et comment je fais, moi, pour me concentrer?" était le titre de cette quasi-note.

Quelques jours après, après un midi passé dans le chaotique local d'informatique de mon pavillon, où les élèves ont réussit à trouver cent façons de déjouer la surveillance et d'aller, entre autres, sur facebook, myspace, Youtube, ebuddy et autres sites à usage non-éducatif. Je souhaitais dresser un portrait de la situation et comparer avec la situation dans le local de mon ancien pavillon, mais voilà, encore un beau projet jeté à la poubelle.

Les trois derniers jours, j'ai eu quatre projets que je ne mènerai pas à terme. Premièrement, une note anti-ADQ, dans laquelle je défaisais les promesses du parti sur l'éducation, la santé et l'économie, tout en me permettant de surligner en fluo les illogismes de son chef, en éclaboussant au passage sa performance à Dieu Merci!. Deuxièmement, une note sur un site qui regroupe des vidéos hors du commun. J'ai décidé d'oublier cela après avoir regardé quelques vidéos, plusieurs violentes ou peu recommandables. Troisièmement et finalement, une note sur la dépression, que j'ai eu envie d'écrire après avoir assisté à une conférence sur le sujet.


Ah... tant de projets qui ne seront jamais publiés. J'en profite pour vous dire que j'ai retirée la note sur l'installation de caméras de surveillance à notre école, jugeant qu'elle était peut-être un peu trop...controversée.

Si la demande est assez forte, je vais peut-être mener à terme l'un ou l'autre de ces projets, mais cela dépend de vous.

vendredi 21 novembre 2008

Nouveau design!

Hé oui! On ne dit plus "Le Blog de Mike, là où l'originalité règne" (un nom complètement déphasé, si vous voulez mon avis). Maintenant, on dit "Casse-tête". C'est plus sobre, certes, mais moins enfantin. Je considère mon blog comme un outil de réflexion et d'apprentissage et donc il se doit d'avoir un nom approprié. Pas un nom que j'ai inventé sur un coin de table parce que je n'arrivais pas à trouver mieux.

Je considère aussi que "Casse-tête" colle plus à la vision que j'ai de mon blog. Non, ça ne veut pas dire que j'essaie de rendre mes notes incompréhensibles, de sorte qu'on se casse la tête en les lisant. Ça ne veut pas non plus dire que je me casse la tête en les écrivant. Comme je l'ai dit précédemment, mon blog est pour moi un outil de réflexion, d'où le cassage de tête... et d'apprentissage. "C'est en faisant des erreurs qu'on apprend" (mais pas besoin d'erreurs quand on peut réfléchir). La citation est de je ne sais qui, mais la remarque parenthésée, inspirée de "penser avant d'agir" est la mienne.

Bref, je vais essayer d'être plus fidèle à la promesse que j'avais faite sur mon ancien blog.

"-Plus de constructivisme
-Plus de réflexion
-Plus de contenu
-Plus de plus!
"

À date, c'est pas mal, sauf pour l'ancien titre, qui était moins que pas mal. Toutefois, comme je viens de le balancer à la poubelle, c'est pas mal tout court. Pendant que j'y suis... c'est le temps d'un BILAN!

Rappelons nous les bons coups des dernières semaines, si vous le voulez bien. Comme vous le voyez ci-dessous, j'en ai sélectionné cinq sur un peu plus de vingt. Cinq notes que-je-n'aurais-pas-peur-de-montrer-en-public plus intéressantes, pratiques, songées, bien-écrites, que les autres.

-Les romans d'aventure
-Ressources internet
-Destin, philo et liberté
-L'effet des jeux vidéo violents, plus réel qu'on le croyait!
-Facebook mis au clair

Évidemment, ce sont aussi des articles représentatifs de ma politique aux quatre plus. J'en ferai bien d'autres, des articles de ce genre, mais...

Pour l'instant, tâchez d'apprécier le nouveau layout.

mercredi 19 novembre 2008

Facebook mis au clair

Facebook. Votre mère en a un, votre professeur de maths, tous vos amis, votre chien, votre chat, votre voisin et vous aussi, probablement. Qu'est-ce qui explique cet engouement pour un site où on partage des images, où on se crée de nouvelles relations et on entretien celles qu'on a déjà, tout cela sur internet? Après avoir lu la déclaration de confidentialité et avoir lu un peu sur le sujet, j'ai décidé d'en faire un rapport. Soyez certains d'une chose, par contre: je ne suis pas membre du site, cela dû au fait que j'ai lu la déclaration. Cela n'a toutefois pas freiné ses 120 millions d'utilisateurs, en tout cas (probablement parce que personne ne les lis, ces déclarations!)


Je vous en ferais bien un historique détaillé, juteux, dégoulinant de détails, mais je vais laisser cette tâche à Wikipédia (ici pour le texte) et me contenter de résumer, pour ceux qui n'ont pas envie de se taper toute la lecture.

En bref, pour vous les fainéants et les pressés, Facebook est un réseau social qui vous permet, entre autres, de vous tenir à jour dans les nouvelles de vos amis, partager des images avec eux, leur envoyer des messages et chatter. Évidemment, on vous permet aussi de vous composer un profil et d'écrire sur un simili-blog. En gros, voici le phénomène Facebook. Pour les références temporelles, ledit réseau social a commencé en septembre 2006 et a vite prit de l'expansion pour devenir le site à bande passante incroyable qu'il est aujourd'hui.

Passons maintenant à la partie intéressante, la dissection de la politique de confidentialité. Lors de l'inscription, qui est incroyablement prompte(dès votre arrivée sur le site, on vous encourage à vous inscrire), courte et ouverte, on ne vous demande pas si vous acceptez les conditions, mais si vous avez une loupe avec vous, vous verrez peut-être le "En cliquant sur Inscription, vous reconnaissez avoir lu et vous acceptez les Conditions d'utilisation et la Politique de confidentialité.". Débutons l'autopsie... ça va saigner!


Commençons par le principe et les valeurs fondamentales, qu'on s'empressera ensuite de démonter.

Facebook a été conçu pour faciliter l'échange d'informations avec vos amis ainsi qu'avec les personnes de votre entourage. Nous veillons à ce que vos données personnelles restent confidentielles, c'est pourquoi Facebook vous permet de contrôler l'accès à vos informations. Les paramètres de confidentialité utilisés par défaut limitent l'accès de vos informations à vos réseaux ainsi qu'à d'autres communautés que nous avons jugé honnêtes.


1. Vous devez bénéficier du contrôle de vos informations personnelles.

2. Vous devez avoir accès aux informations que les autres utilisateurs souhaitent partager.



Allons tout de suite voir un peu plus bas, où on nous dit qu'on collecte: "d'une part des informations personnelles, que vous avez volontairement choisi de révéler et que nous collectons et, d'autre part, des données relatives à l'utilisation du site Internet que nous collectons quand vous interagissez avec notre Site Internet."

En mettant de l'information sur Facebook, vous y perdez droit. Elle ne vous appartient plus: c'est la propriété de Facebook, désormais. On sonde même votre utilisation du site.

Un peu plus loin, on vous dit que: "Lorsque vous mettez à jour des informations, nous conservons généralement une copie de sauvegarde des versions antérieures pendant un certain temps, afin de pouvoir récupérer ces informations si nécessaire."

Ah, de mieux en mieux. En nous dit maintenant que tout ce qu'on met, on en garde une copie. Et si je veux retirer la déclaration d'amour un peu trop osée que j'ai faite à une amie? Ou les photos du party de vendredi ou on s'était tous saoulés? Hé non. Tu les enlèves, elle resteront quand même.

"Vous comprenez et reconnaissez que, même après suppression, des copies du contenu utilisateur peuvent rester visibles dans les pages d'archives et les pages en cache ou bien si d'autres utilisateurs ont enregistré ou copié votre contenu."

Ouais, c'est bien ça. Oh, un instant. On me dit aussi que: "Ces informations limitées pourront également être accessibles à des moteurs de recherches tiers. Ainsi, vos amis pourront vous trouver et vous envoyer une invitation."

On parle ici des informations dans votre profil. Comme ça, si votre potentiel petite amie ou votre patron veut voir quel genre de personne vous êtes, vlan, Facebook et il a tout ce qu'il/elle veut savoir.

"Nous nous réservons le droit d'exploiter des informations vous concernant et provenant d'autres sources, tels que journaux, blogs, services de messagerie instantanée, développeurs de la plate-forme Facebook, utilisateurs de Facebook, pour compléter votre profil."

Ah? Mais alors, je ne peux plus être trois personnes en même temps sur le net? De façon plus importante, vous voulez dire que je n'ai pas le contrôle des aspects que j'ai envie de révéler à propos de moi-même?

"Quand vous utilisez Facebook, les informations que vous partagez avec vos contacts (amis ou personnes de votre réseau), telles que des données personnelles, des commentaires, messages, photos, vidéos, petites annonces, etc., sont susceptibles d’être partagées avec d’autres utilisateurs, conformément aux paramètres de confidentialité que vous avez définis. Tout partage d'information dépend de vous et engage votre propre responsabilité. Rappel : les informations personnelles que vous incluez dans votre profil ou dans des commentaires, des photos, des vidéos, etc. peuvent être rendues publiques."

Donc si je comprends bien, j'ai le choix de ce que je veux montrer au public, mais en un clin d'œil on peut me l'enlever? Super!

"Les publicités qui apparaissent sur Facebook sont souvent diffusées directement aux utilisateurs par des annonceurs tiers. Dans ce cas, ils reçoivent automatiquement votre adresse IP. Ces annonceurs tiers peuvent aussi télécharger des cookies vers votre ordinateur ou utiliser d'autres technologies come JavaScript et les « balises Web » (aussi connues sous le nom de 1x1 gifs) pour évaluer l'efficacité de leurs publicités et personnaliser leurs contenus."

Hé oui, c'est de la pub intrusive. Terminons avec un dernier petit truc...

"Les personnes désirant résilier leur compte Facebook peuvent le faire sur la page Mon compte. Les traces des informations supprimées seront conservées pendant une durée raisonnable, mais ne seront consultables par aucun des membres de Facebook.
En revanche, lorsque vous utilisez les fonctions de communication du Site Web pour partager des informations avec d'autres individus sur Facebook (par exemple, envoyer un message personnel à un autre utilisateur Facebook), vous ne pouvez généralement pas supprimer ce type de communications.
"


En bref, ce que vous dites est gardé en mémoire, et l'information de votre profil aussi à "durée raisonnable". Pour finir, un pot-pourri d'autres pourritures de la politique de confidentialité:

"En utilisant Facebook, vous acceptez que vos données personnelles soient transférées et traitées aux États-Unis."

et

"Vous comprenez et reconnaissez que, même après suppression, des copies du contenu utilisateur peuvent rester visibles dans les pages d'archives et les pages en cache ou bien si d'autres utilisateurs ont enregistré ou copié votre contenu."

et une ligne, que je ne retrouve plus, qui dit que vous utilisez Facebook à vos "risques et périls".


Bon, on ne peut pas leur reprocher leur malhonnêteté. Ils disent tout ce qu'on a à savoir, nous font comprendre que plus rien qu'on met sur le site ne nous appartient, qu'on se met en danger en utilisant Facebook. On ne peut pas non plus leur reprocher la naïveté de leurs utilisateurs, qui se jettent dans le site sans lire la déclaration de confidentialité, sans rien savoir des risques. Un peu comme confier notre âme à un étranger.


Vous ne voyez pas ça de cette façon? Facebook a toujours l'air du petit bonhomme inoffensif qui ne dit vouloir "que vous connaître" et vous permettre d'échanger avec d'autres qu'il a déjà piégés? Alors jetez un petit regard sur les liens suivants.

-Wikipédia. On parle en effet des méfaits des propriétaires du site, sous le sous-titre "Controverses".

-01.net. Même la BBC nous met en garde!

-Youtube. Même là, on s'en moque, à l'aide d'une fausse pub.

-NOUVO. Ici, on nous parle d'une pétition contre le nouveau Facebook.

-L'Oryane. Un portrait assez détaillé de Facebook, avec bien sûr, plus de commentaires sur les controverses.

-GNT. Blablabla encore plus de controverse.


Évidemment, il y aura toujours des gens pour venir défendre Facebook, comme ce site, mais ils sont beaucoup moins nombreux que ceux qui tentent de le caler.


J'ai peut-être précédemment mentionné que Facebook était une sorte de réseau social. Je ne doute pas que: "Facebook peut être une expérience enrichissante socialement, voire même utile dans plusieurs contextes." Mais si je suis prêt à admettre ça, c'est que je comprends aussi que "Facebook vend de l'information concernant ses utilisateurs à: des compagnies, pour les aider à publiciser leurs produits, des réseaux d'information, pour les aider à construire leur banque de données et même à la police, pour les aider à créer des dossiers détaillés sur le plus d'individus possible." et que "Ce qu'on met sur Facebook de notre plein gré... appartient à Facebook."


Bref, pensez-y à deux fois avant de faire confiance à un phénomène comme celui-là. Ce n'est pas parce que "tout le monde le fait" ou que "ça va me permettre de me faire des amis" que vous devez vendre vos droits.

mardi 18 novembre 2008

L'hypersexualisation fait des siennes... sur le net!

De nos jours, les jeunes filles sont sollicitées sur tous les plans à devenir des Bimbo qui ne pensent qu'à leur garde-robe ou à avoir le plus de contacts célèbres. De pauvres enfants dans des habits d'adultes, des adultes superficiels et victimes de la mode, des complexes et d'une basse estime d'eux-mêmes qu'ils tentent de combler par tous les moyens.


On en voyait à la télé, dans les journaux, dans les magazines... et voilà qu'on en retrouve sur le net. Attention, les jeunes, vous vous apprêtez à visionner du contenu choquant (pas visuellement, je vous rassure), voire dépravé. Être une Bimbo est devenu un jeu en-ligne, un loisir.

Voyez vous-même!


Franchement, où allons-nous?

(P.S: Pas de réflexion là-dessus, ça parle par soi-même... peut-être une autre fois)

dimanche 16 novembre 2008

samedi 15 novembre 2008

Ressources: Édition travail d'équipe!

Dans l'édition précédente, je vous faisait part de mes découvertes dans l'actualité sur internet, dans les sites d'hébergement de vidéos, dans les sites de communautés d'artistes, dans les traducteurs... bref, un peu n'importe quoi, n'importe comment. Soyez assurés qu'au fil du temps, je publierai plus de ressources, et de façon plus structurée, avec un thème à chaque fois. Cette fois, le thème est le travail d'équipe. Je vais donc vous donner des ressources pour faciliter le travail d'équipe par le biais d'internet.


Commençons tout de suite avec les libellés. Comme vous pouvez le voir, j'ai placé cette note sous le libellé "Ressources". Grâce aux libellés, vous pouvez regrouper des travaux, des articles, des textes, ou simplement des liens pour qu'on puisse les retrouver facilement, bien classés dans diverses collections.

Utilité dans un travail d'équipe? Supposons que vous travaillez sur un travail à plusieurs, et que vous en êtes à la portion "Recherche" du travail. Vous vous créez tous un compte sur Delicious, et vous commencez la recherche. Dès que vous trouvez quelque chose d'intéressant, vous l'ajoutez à vos marque pages del.icio.us, et voilà le travail! Après quelques pages ajoutées, vous aurez déjà complété la recherche et, de leur côté, vos coéquipiers auront aussi collectionné les pages intéressantes. Vous n'aurez alors qu'à mettre tout cela en commun, et vous aurez une banque de données sur laquelle baser votre travail. N'est-ce pas merveilleux (si oui, continuez de lire pour des ressources encore plus utiles) ?

Bon, comme je ne suis pas un expert pour expliquer ce genre de concept, je vais laisser les gens de CommonCraft le faire pour moi. Voici donc "Social Bookmarking in Plain English":












(En anglais seulement, désolé)

Si vous ne parlez pas la langue de Shakespeare, je me rappelle avoir déjà écrit un article sur Delicious (sur mon blog scolaire, lien ici, dans la section "CTREQ" (site du CTREQ ici)), en plus de parler des fils RSS et des wikis. Les wikis, c'est justement mon prochain point. Eh bien, après Icerocket.


Zut. J'ai vendu la mèche de mon prochain punch! C'est sans gravité, j'espère. Il me reste encore à vous expliquer ce que c'est et comment ça marche.

Icerocket, ça a encore rapport aux libellés. Toutefois, ce n'est pas, comme Delicious, un site qu'on peut utiliser pour le social bookmarking. Icerocket est un peu comme une fusion de Google et de Delicious. Il permet de chercher sur le web, sur myspace, sur des sites de nouvelles et, ce qui nous intéresse, sur des blogs (de façon moins conséquente, on peut aussi chercher des images), tout cela grâce à des libellés.

Comme google, ça vous permet de chercher sur internet, et comme delicious, ça vous permet de trouver des libellés. Je me rappelle, lors de la première conférence que j'ai donnée, avec Félix, aux élèves de Patrick sur le Guide du blogueur en devenir, qu'une question intéressante était ressortie. "Comment être sûr que l'information qu'on trouve sur google vient d'un blog?", nous avait demandé une des élèves, après qu'on ait vanté le fait que les blogs sont souvent des vrais mines d'or côté information. Ne cherchez plus.

Avec Icerocket, vous tapez un mot dans la barre de recherche, vous cliquez sur "Search" et voilà! Icerocket vous trouve tous les articles écrits sur des blogs qui portent le libellé que vous avez recherché.

L'intérêt pour le travail d'équipe? Je dirais que c'est un outil qui va en corrélation avec delicious. En soit, ce n'est pas tellement utile au travail d'équipe, mais si vous l'utilisez avec delicious, vous pourrez partager des trouvailles faites sur des blogs avec vos coéquipiers.


La fin approche, mais j'ai deux ressources de plus. Deux ressources qui sont à peu près les mêmes, sous deux licences différentes. C'est-à-dire: les wikis et Google Docs.

Grâce à ces deux sites, vous pourrez augmenter énormément l'efficacité du travail en équipe. Vous pouvez être une dizaine à travailler sur le même texte, tous en même temps!


Ce sera tout pour cette fois. J'espère que ces quatre ressources vous seront utiles!

mardi 11 novembre 2008

Raël: powerpoint terminé!

Le travail que j'avais débuté sur le mouvement raëlien fut terminé hier, et présenté aujourd'hui. J'ai donc décidé de vous le montrer, étant donné que je le trouve assez bien fait. Notez toutefois que le powerpoint a été créé pour nous donner des repères dans notre présentation, donc le texte n'est pas omniprésent, ce sont surtout des images. Néanmoins, je vous ai fait une courte réflexion en fin de note pour boucler la boucle sur cette secte aux pratiques bizarres.

Raeliens Diapo 2003
View SlideShare presentation or Upload your own. (tags: raëliens raël)


(lien vers le powerpoint hébergé sur slideshare ici)

Je n'étais pas seul dans ce projet, Zacharie R., un camarade de classe qui a été mon équipier lors de ce travail, m'a aidé à trouver de l'information et à structurer le powerpoint.


Bref, les Raëliens, c'est qui? Des lavés de cerveau sans volonté, des êtres incompris en quête de l'illumination, des naïfs qui ont mordu à l'hameçon ou encore, de façon moins probable, des gens conscients de leur situation et de la situation de l'être humain d'aujourd'hui qui ont fait un choix éclairé?

Honnêtement, je ne peux rien affirmer. Ou le puis-je? Raël, quand il a été visité, était seul, ou en compagnie de Raëliens de confiance. Il a été piégé plusieurs fois, et plusieurs sites, comme celui-ci, nous montrent des contradictions des Raëliens. Personnellement, je ne peux pas dire assurément: "c'est un mensonge", mais on voit bien des signes. En son fondement, l'idéologie du mouvement est ridicule: des extraterrestres... laissez moi rire!

dimanche 9 novembre 2008

L'effet des jeux vidéo violents: plus réel qu'on croyait!

En lisant le Soleil ce matin, je suis tombé sur un petit article qui portait sur l'effet des jeux vidéo violents sur les jeunes. Selon une étude parue dans la revue "Pediatrics", les jeunes de 9 à 18 ans qui jouent à des jeux vidéo violents voient leur propension à la violence doubler après trois à six mois d'exposition. Cela m'a amené à relire un de mes anciens articles, publié sur mon blog scolaire, qui portait sur le même sujet, dans lequel j'expliquais les différents facteurs qui modifient l'effet des jeux vidéo sur le joueur. Voici, pour vous donner une idée de l'emprise de ces activités sur les jeunes d'aujourd'hui, quelques chiffres (la Presse):

-90% des enfants américains de 8 à 16 ans jouent à des jeux vidéos, en moyenne treize heures par semaine (16 à 18 heures pour les garçons). En vingt ans, le chiffre a plus que triplé (de quatre à 13 heures).

-Plus de 90% des jeux côtés "Everyone10+" contiennent de la violence.

-Plus de trois adolescents sur quatre jouent à des jeux côtés "M" déconseillés pour les 17 ans et moins, à cause de leur "violence excessive ou intense". J'en suis bien conscient: l'an passé, un élève nous faisait la critique de jeux 18+ sur son blog, et une bonne partie de mes amis possèdent des jeux 17 ans et plus, comme GTAIV, Dead Rising, Mortal Kombat et autres (ratings de la ESRB ici).

-Plus de 80% des enfants réussissent à acheter ou à louer des jeux qui leur sont déconseillés ou interdits.

Comme il est facile de le constater, les jeux vidéo violents sont bien présents chez les jeunes d'aujourd'hui. Bien souvent, les parents ne réalisent pas l'impact de ce genre de jeux sur leur enfant, et le lui payent.

L'étude a été conduite sur des jeunes des États-Unis et du Japon, deux pays qui ont des regards très contrastés au niveau de la violence, et les résultats furent à peu près les mêmes. L'étude se basait sur le niveau de violence auquel les jeunes ont été exposés et quels comportements violents ils ont pu avoir durant les mois qui ont suivi. Les chercheurs ajoutent que l'aggressivité dans l'enfance est un des plus grands facteurs de risque pour la propension à la violence à l'adolescence et à l'âge adulte. Les chercheurs affirment aussi que "l'importance de mieux comprendre les facteurs qui font augmenter (ou réduire) les risques de violence est vitale si nous voulons comprendre et réduire la violence dans la société moderne".


Mon opinion:

Je savais bien que les jeux vidéo violents faisaient partie de la vie de plusieurs jeunes de mon âge, mais je n'avais aucune idée que c'était aussi répandu. L'étude a beau avoir été conduite aux États-Unis, j'ose estimer que la proportion est la même ici, au Canada, en tout cas selon mes observations. Je vais aller de concordance avec les chercheurs et dire qu'il serait important de déceler les facteurs les plus importants et influents de ces jeux pour mieux comprendre comment les jeunes sont portés à y réagir. Comme j'en ai parlé dans cette note, le niveau de réalisme, le temps et la régularité et la personnalité du gamer sont tous des facteurs importants. Évidemment, un jeu dans lequel votre mission est d'éliminer le plus d'aliens possibles est moins influent qu'un jeu où vous devez décapiter des êtres humains, tout comme un jeu sur lequel vous passez une heure une fois par mois est moins à risque de vous influencer que le même jeu auquel vous jouez cinq heures par jour. Même chose pour la personnalité: si vous êtes très influençable, déjà agressif ou particulièrement sensible, les effets seront évidemment plus notables.

Il y a deux théories sur l'effet des jeux vidéos. L'une veut qu'un jeune se défoule sur le jeu violent afin de ne pas commettre d'actes de violence dans la réalité, l'autre qu'un jeune soit encouragé par la violence présente dans le jeu et soit porté à agir violemment. Visiblement, la deuxième théorie, celle de la "stimulation" se tient mieux debout que la première, celle de "catharsis" (plus d'information sur ces deux théories ici). Malgré que, dans certains cas, les jeux vidéos peuvent servir à se défouler, ce n'est pas ainsi pour la plupart des gens, comme le démontre l'étude dont je viens de vous faire part.


Conclusion:

Les jeux vidéo rendent les jeunes plus agressifs, et c'est un fait. Quand j'étais jeune, mon frère et moi devions nous partager un jeu de combat, et on finissait toujours par se battre. L'un commençait à jouer, n'était plus capable de s'arrêter, puis l'autre voulait son tour et, devant le refus de coopérer de l'autre, optait pour une tactique de force. Aujourd'hui, je ne joue plus beaucoup à ce genre de jeux, mais je remarque les mêmes effets: pendant quelques heures après ma période de jeu, je suis plus excité et plus agressif, comme si le jeu avait enclenché un mécanisme dans mon cerveau me disant d'être sur mes gardes, comme je devais l'être dans le jeu, et de réagir rapidement (avec le temps, je suis arrivé à contrôler partiellement cette situation). Le même effet se produit pour à peu près tout le monde, et c'est la stimulation de cette partie du cerveau qui entraîne les jeunes exposés à devenir des adultes agressifs.

En bref, faites attention à ce à quoi vous jouez, et soyez bien conscient de l'impact de la violence que vous pouvez retrouver dans une bonne partie des jeux vidéo.

Sources: données au fil du texte.

samedi 8 novembre 2008

90 degrees

Aujourd'hui, je me passe de textes pour vous présenter "90 degrees", une animation en trois dimensions impressionante que je viens de découvrir. Bon visionnement!



90 degrees

vendredi 7 novembre 2008

Obama: Noir ou pas?

Pas noir, mais métis. Plusieurs personnes semblent le considérer à tort comme noir, ce qui est faux. Son père était Kenyan et sa mère, une Américaine blanche, ce qui fait de lui non pas un noir, ni un blanc, mais bien un métis. Qu'est-ce que cela change? Pas grand chose: Obama reste un président de couleur. Mais d'un autre point de vue, c'est peut-être une encore meilleure chose qu'il soit tel qu'il est, et je vais tenter de vous l'expliquer dans les phrases qui suivront.

Pour commencer, Barack Obama représente l'américain moyen: père de deux enfants, issu d'un famille peu fortunée et sans histoire, avec un travail ordinaire(note: cette description n'est peut-être pas exacte). Et c'est cet américain moyen qui, grâce à ses efforts, a réussi à se hisser en haut du podium. Pour les américains, c'est un encouragement: eux aussi, citoyens moyens, peuvent faire la différence s'ils mettent de l'avant leurs convictions et travaillent dur. Pour les afro-américains, c'est encore plus poussé: Obama représente un vent de changement pour eux, une bourrasque d'air frais.

En second lieu, Obama est contre la guerre. L'oncle Sam ayant les mains tachées de sang à cause de son passé (et son présent) de guerrier, les américains sont reconnus mondialement comme étant des agressifs qui se mêlent de tous les conflits. Cela a été accentué avec la venue de Bush, qui a eu à venger les attentats du onze septembre dès le début de son règne. Il aurait pu le faire sans violence, mais non. Obama, lui, propose un retrait des troupes d'Irak sur 16 mois (cela risque de laisser l'Irak dans le chaos, mais comme on dit, quand on enlève le couteau d'une plaie, ça saigne un temps puis ça cicatrise), en plus d'arrangements avec l'Iran pour diminuer leur développement dans le nucléaire. Pour les américains, c'est un peu une chance de se racheter en adoptant la paix plutôt que la guerre. Encore une fois, du changement!

Finalement, pour revenir sur les origines du jusqu'à maintenant président des États-Unis, je crois que, d'une certaine façon, son métissage pourrait être reconnu comme un symbole d'unité: l'union des blancs et des noirs au sein de l'Amérique!

S'il est élu, bien entendu. Pour l'instant, c'est surtout de gros espoirs pour la population, mais qui pourraient bien être déçus par les grands électeurs. Pour ne pas faire un topo sur la question, les américains choisissent les représentants de partis, puis votent pour un parti ou l'autre et finalement, les grands électeurs votent. Curieusement, le vote de la population n'a pour effet que d'encourager les grands électeurs à voter pour tel ou tel parti. Ils peuvent, selon leur gré, changer d'idée en cours de route et ainsi annuler le droit à la démocratie de dizaines ou centaines de milliers de gens.

Bref, on verra bien le 15 décembre, jour où Obama sera (ou pas) officiellement président!

jeudi 6 novembre 2008

Pertinence du code: Remise en question...

Je donne une grande importance au code de déontologie. Certains diront que je ne devrais pas m'imposer ma propre législature, que je devrais rester libre. Mais comme c'est "ma" législature, alors en quoi ma liberté est-elle amoindrie? La raison pour laquelle je donne tant d'importance au code, c'est que ça me donne des engagements à respecter envers mes lecteurs.

Je sais que le code de déontologie était présent sur nos blogs scolaires principalement pour délimiter l'acceptable et assurer une pratique carnetière saine et adéquate. Sans code, on aurait sûrement vu des choses inappropriées. Évidemment, on ne peut pas, en confiant quelque chose de précieux à quelqu'un qu'on de connaît pas, lui permettre d'en faire l'utilisation qu'il veut. Et si cette personne décidait d'acquérir son propre bien? Plus besoin de confiance? Plus besoin d'assurances?

Je suis le seul des cinq blogueurs à avoir un code de déontologie. Charles-Olivier, Félix, "L" et Thomas n'en ont pas, pour des raisons qui, je l'estime, sont parfaitement justifiables. Thomas affirme que le code est synonyme de conformisme et de censure, Félix a décidé de ne pas garder le sien, probablement à cause du lien avec les blogs scolaires dont il souhaite se détacher. Et moi, dans tout ça? Un mouton blanc parmi des moutons noirs? Un mouton en cage parmi des moutons libres? Et tant qu'à y être, un mouton parmi des requins?

Franchement, je ne sais pas. Sûrement pas un mouton blanc parmi les moutons noirs, en tout cas. Malgré l'absence de code, je sais que mes compatriotes blogueurs savent faire preuve de bonne conscience.

Éclairez-moi donc sur cette question... le code est-il vraiment pertinent, maintenant que je ne suis plus sur une blogosphère scolaire, mais bien chez moi?

mardi 4 novembre 2008

Destin, philo et liberté!

Aujourd'hui, en classe de Français, nous avons eu la chance de participer à une discussion philosophique assistée par une professionnelle, occasion qui est assez rare. Entre la grammaire et l'écriture, il y a peu d'espace pour des expériences de ce genre, un genre que j'apprécie beaucoup. Amateur de philosophie, je considère cela comme un exercice de l'esprit essentiel. En effet, se questionner en groupe peu amener des éclaircissements, des réflexions, qui nous permettent d'approfondir nos connaissances et nos pensées. Le sujet de cette rencontre, que nous avons décidé à partir d'un texte qui abordait plusieurs thèmes philosophiques, comme le destin et la liberté, était: "Avons-nous toujours le choix?". Le choix d'agir de notre propre volonté et ce dans toutes les circonstances?

Plusieurs autres thèmes sont ressortis de cette problématique, comme la personnalité, les aptitudes, les qualités et les défauts, les circonstances, l'environnement, etc.

La personnalité influence le choix qu'on va faire, mais pas le fait ou non d'avoir le choix. De même pour les aptitudes, les qualités et les défauts et les circonstances, comme l'environnement. Quand avons nous le choix? À priori, dans toutes les conditions. J'aurais beau avoir un fusil sur la tempe, ou être en prison, je serais quand même libre de choisir ce que je vais faire jusqu'à un certain niveau.

Nous pouvons toujours choisir ce que nous allons faire. Ou le pouvons-nous? Bien souvent, notre inconscient prend les décisions pour nous. Nos humeurs influencent nos réactions, et bien souvent, les réactions s'opèrent d'elles-mêmes sans qu'on puisse choisir ou non de les empêcher. Une autre chose sur laquelle nous n'avons pas le contrôle total, ce sont les autres. Le monde qui nous entoure, les gens, les animaux. Les choses inanimées aussi, jusqu'à un certain niveau, mais, prenant l'exemple de la télé, on peut changer le canal ou la fermer si on n'aime pas ce qu'on voit, donc on a le choix.

Les choses autour de nous, dans notre environnement, nous influencent, parfois sans qu'on s'en rende compte. On peut, par la suite, se raviser, mais cette influence dont on ne voulait pas à priori et qui nous a quand même été transmise de toute façon, inconsciemment, nous n'avons pas eu le choix de l'assimiler ou pas. Je vais prendre l'exemple, souvent repris, de la timidité. Un jeune de mon âge, dans son enfance, a été réprimé quand il a tenté de s'exprimer. Ce n'est qu'un seul évènement, mais qui a été conséquent pour la personne. Ce genre de chose est encore plus susceptible de se produire si il se fait réprimer à répétition. Encore une fois, il a le choix de ne pas écouter ceux qui tentent de brimer ses droits, mais d'une certaine façon, il n'a pas tant le choix que ça. Personne n'apprécie se faire manquer de respect. Afin d'éviter que la situation ne se reproduise pas, inconsciemment, le jeune se dira qu'il lui vaudrait mieux éviter de s'exprimer. Le choix, son inconscient l'a fait pour lui.

Pour clarifier un peu tout cela, j'ai concocté un exemple. Je l'appelle l'exemple de la pâte à modeler, selon cet exemple, chaque être humain est représenté par une boule de pâte à modeler, de différentes couleurs (ici, la couleur représente la personnalité plutôt que l'appartenance raciale de la personne), compositions et origines. Je dis bien de la pâte à modeler, car chacun de nous est un peu comme une base qui est modelée par tout ce qui nous arrive, tout ce qui nous est dit, tout ce qu'on pense, qu'on fait... Bref, une infinité de facteurs viennent modeler la pâte qui, avec le temps, changera de couleur, de forme, etc.

Pour répondre à la question de départ, nous avons toujours le choix de qui nous sommes, de qui nous voulons être, et de ce que nous voulons faire, mais nous n'avons pas toujours le choix de ce qui nous arrive.

Déboires avec Blogger...

Que fait-on quand on se rend compte qu'on a oublié notre mot de passe pour Blogger, et qu'il n'est écrit nul part? On panique, on s'arrache les cheveux, on prie que l'infinie puissance du Christ nous donne la puissance de s'en rappeler (non, je ne suis pas croyant, mais si vous l'êtes, j'espère que vous vous êtes reconnus dans l'exemple précédent).

En fait, je n'ai rien fait de tout cela. Évidemment, quand on sait qu'un "Mot de passe oublié ?" existe, on ne se fait pas de souci, on clique dessus et on suit les procédures sans se casser la tête. Ces procédures, je les ai suivies au moins une dizaine de fois. À chaque fois, dès que je tentais de me reconnecter après m'être déconnecté, on me disait que j'utilisais le mauvais mot de passe, alors qu'en fait, c'était le bon mot de passe que j'utilisais, celui que je venais juste d'entrer en tant que nouveau mot de passe.

Si quelqu'un sait quelle pourrait être la cause du problème, je vous en serais très reconnaissant, car pour l'instant, je dois refaire la procédure à chaque fois, et je commence à songer à migrer vers un autre blog qui ne me causera pas autant de soucis simplement pour une histoire de mots de passe.

Pour les intéressés, laissez-moi vous expliquer plus clairement: En créant mon compte, j'ai entré un mot de passe pour mon blog. Je me suis connecté plusieurs fois avec ce même mot de passe, jusqu'à ce que je l'oublie et que je ne puisse plus me connecter. J'ai alors suivi les procédures requises pour créer un nouveau mot de passe, puis, quand j'ai voulu me reconnecter, le nouveau mot de passe ne fonctionnait pas.

Situation fort énervante, d'autant plus que je me connecte à chaque jour, et que la procédure, quoi que pas si longue, requiert plusieurs manipulations qui pourraient être évitées si seulement mon mot de passe marchait.

dimanche 2 novembre 2008

Ressources internet!

Sur mon ancien blog, il m'arrivait de faire découvrir à mes lecteurs de nouvelles ressources que j'avais trouvée, souvent par hasard, en vagabondant sur la toile. Des sites d'images photoshopées, des banques de données, des traducteurs en ligne, des sites de vidéos, etc. Aujourd'hui, je décide de vous présenter lesdites ressources ici même, sur mon nouveau blog! J'espère que certains des liens ci-dessous iront se loger dans vos marque pages (favoris, si vous utilisez Internet Explorer)!

Commençons avec le frère du populaire Youtube, TeacherTube!

Sur TeacherTube, on ne met pas n'importe quoi! Le but premier du site est de former une collection de vidéos d'apprentissage, donc qui ont une certaine valeur d'enseignement. Voici un exemple d'une vidéo trouvée sur TeacherTube, qui nous montre les bénéfices des blogs auprès des élèves.



Voici un autre site qui crée des vidéos d'apprentissage, cette fois de façon professionnelle et indépendante. Le Common Craft show, qui a notamment réalisé une vidéo qui nous explique ce que sont les blogs.












Maintenant que vous connaissez de nouveaux sites de vidéos, passons à des sites de référence textuelle. Je ne détaillerai pas chacun de ces sites de façon exhaustive, mais les voici quand même.

-Cybersciences, un site bourré d'informations sur la Science.
-Wikipédia, l'encyclopédie en ligne la plus complète et fiable (sûre à 90%)
-L'Encyclopédie canadienne, bourrée d'informations sur l'histoire canadienne.

J'ai aussi en réserve plusieurs outils linguistiques utiles. Les voici!

-Wordreference, un traducteur mot par mot anglais, français, espagnol et italien! Il possède aussi un dictionnaire anglais.
-Spellcheck, pour s'assurer que vous n'avez aucune photte d'ortographe quand vous écrivez en Anglais.
-Lingro, le traducteur le plus intuitif que j'ai en réserve (François me l'a fait découvrir), qui vous permet une traduction en plusieurs langues.
-Semantic Atlas, un traducteur anglais français qui possède aussi une banque de synonymes et antonymes en Anglais et en Français.

Sur une veine complètement différente, j'ai aussi des sites d'images et de personnalisation d'images.

-DeviantART, possiblement le plus gros recueil d'art sur le net.
-ImageChef, un site de personnalisation d'images qui vous permettra de créer une variété impressionnante d'images modifiées.
-Worth1000, un site d'images photoshopées faites par de talentueux artistes.

Et pour terminer, des sites d'actualité.

-Amnesty International, la page web de l'organisme Amnistie Internationale, qui nous offre des tonnes de nouvelles à saveur humaniste.
-Cyberpresse, LA source de nouvelles la plus importante sur le net.
-Futura-Sciences, le site d'un magazine d'actualité scientifique.


Ce sera tout pour mes ressources internet. Comme je l'ai précédemment dit, j'espère qu'elles vous seront utiles!

samedi 1 novembre 2008

Cinq blogueurs, un Blogger

Je souhaitais simplement vous annoncer que nous ne sommes plus seulement 4 blogueurs de Rochebelle, mais bien 5! Le cinquième d'entre nous, toutefois, a décidé de renier complètement son code de déontologie, pour pouvoir se gérer lui-même. C'est une décision que je ne comprends pas tellement, car un code de déontologie, c'est toi qui te l'écris (tu aurais toujours pu modifier ton ancien), et ça peut te servir d'aide-mémoire pour différencier ce qui est acceptable de ce qui ne l'est pas, mais je la respecte quand même.

Ce cinquième blogueur, c'est Thomas V. (blog scolaire ici), l'auteur de plusieurs récits policiers à saveur noire, l'anti-conformiste de notre blogosphère passée (et probablement aussi de celle-ci...), le gagnant de mes deux concours d'écriture... bref, un charmant bonhomme! :D

Juste pour vous les rappeler, les cinq blogueurs sont (en ordre alphabétique):

Charles-Olivier M.
Félix GG
L
Michaël LD (indice: moi)
Thomas V.

Ne manquez pas de les ajouter à vos favoris!