mercredi 24 décembre 2008

Joyeux Noël à tous mes visiteurs!

Les autres, ils ne liront même pas ceci. Joyeux Noël!

dimanche 21 décembre 2008

Où est le guide?

C'est la question que vous vous posez, vous, visiteur dont la patience commence à s'effriter et que je me pose moi-même. Vous méritez de savoir pourquoi le retard est si important, du moins ce que moi j'en sais.

Vous voyez, le 8 décembre dernier, il y a deux semaines, Félix et moi étions supposés publier le guide du blogueur, un ouvrage qui servirait à tous les aspirants blogueurs et ceux qui veulent répandre la joie d'apprendre en bloguant. J'avais finit tous mes textes de mon côté, que je me suis empressé de communiquer à Félix. Environ un mois avant la date de remise, j'avais suggéré à Félix d'utiliser un service web pour mettre en commun nos textes et travailler ensemble, en même temps pour terminer le guide plus rapidement et pouvoir effectuer diverses corrections. Il n'a pas répondu. J'ai renvoyé quelques messages à Félix depuis cette date, puis un email, lui demandant au passage quand je le voyait à l'école. Je n'ai jamais eu de réponse et nous n'avons pas pu communiquer ni travailler sur internet.

Félix a tous mes textes, mais je n'ai pas les siens. Il a aussi l'ébauche de site qu'il a concoctée et je ne sais quoi d'autre. Il ne répond pas à mes emails et ne se connecte pas sur msn, alors je n'ai aucune idée de comment le rejoindre.

Si, dans les cinq prochains jours, il ne se manifeste pas, je publierai individuellement ma partie.

En espérant que vous comprennez la situation, à dans je ne sais quand!

mardi 16 décembre 2008

Guide du blogueur: C'est pour bientôt!

Cela fait maintenant plus d'une semaine que Félix et moi aurions dû publier le guide. Où est-il, ce guide? Est-ce que vous l'avez mangé? Et puis d'abord, qu'est-ce qu'il y aura dedans? C'est pour quand, déjà? Mais, avez vous pensé aux gens? Aux pauvres gens qui seront privés d'apprentissage, par votre faute!

Non, nous ne l'avons pas encore publié. La vérité est que, je ne sais rien de l'état où le guide en est. Félix a les fichiers et je n'ai pas encore pu lui communiquer pour qu'on les finalise. Pour l'instant, je sais ce qu'il va contenir, du moins en partie. Aujourd'hui, je voudrais vous en présenter une parcelle, mais pas tout de suite. D'abord, répondons à vos questions!

Q: Où est-il, ce guide?
R: J'ai bien peur que nous l'ayons mangé.

Q: Est-ce que vous l'avez mangé?
R: Oui, en quelque sorte. C'est de la nourriture pour l'esprit, ce guide!

Q: Et puis d'abord, qu'est-ce qu'il y aura dedans?
R: Petit impatient! Attends donc après la période de questions!

Q: C'est pour quand déjà?
R: Le 8 décembre. C'était, à vrai dire. Maintenant, qui sait? Noël, le Nouvel An, Pâques, la semaine de relâche?

Q: Mais, avez vous pensé aux gens? Aux pauvres gens qui seront privés d'apprentissage, par votre faute!
R: Sécurité! Veuillez sortir ce malfrat d'ici!


En bref, le guide, c'est pour bientôt. Je ne sais pas quand. Bientôt, ça vous suffit? Je l'espère en tout cas. En attendant, je vous présente un extrait pas piqué des vers: Les huit commandements du blogueur. Non, nous ne sommes pas en train d'essayer de nous partir une secte blogosphérique ou une religion multimédia nouvel âge. C'est simplement que, "commandement", c'est un beau mot. En fait, ce ne sont pas tant des commandements que des attitudes à adopter pour favoriser votre apprentissage par le biais d'un blog.

Bon, trêve d'introductions de trente lignes, place au spectacle! Ou plutôt, aux commandements!

Extrait du guide:

"1. Un bon blogueur respecte son code de déontologie. Cela signifie, entre autres, qu’il tient compte de ses visiteurs quand il publie, qu’il traite les autres blogueurs comme des égaux, qu’il combat les pratiques réprimandables et qu’il utilise un niveau de langage approprié.

2. Un bon blogueur vient en aide aux blogueurs en difficulté, les encourage et leur donne des pistes d’améliorations si cela s’applique.

3. Un bon blogueur favoriser la compétitivité positive, afin de pousser chacun à faire plus d’efforts. Il déprécie toutefois la compétitivité négative, car il sait que cela entraîne des conflits.

4. Un bon blogueur contribue à la communauté comme il se doit de le faire en publiant avec régularité et effort, tant su son blog personnel que sur ceux des autres blogueurs.

5. Un bon blogueur est critique et réfléchi. Il base son opinion sur plusieurs aspects d’une problématique et trouve des arguments pour défendre chacun des deux côtés : son jugement doit être justifié. Il ne tire jamais de conclusion sans avoir exploré plus d’une possibilité.

6. Un bon blogueur se ravise quand il a fait une erreur et voit l’échec comme une occasion d’apprendre. On ne peut pas savoir qu’on a fait une erreur tant qu’on ne l’a pas comprise et on ne peut pas apprendre sans qu’on accepte en avoir fait une.

7. Un bon blogueur sait utiliser la critique constructive et sait mettre de l’eau dans son vin.

8. Un bon blogueur vise l’excellence et pas la perfection et tente toujours de s’améliorer.
"

Dans le guide, tout cela est expliqué en détail, avec en prime d'autres attitudes générales et spécifiques. Sachez bien que chacun de ces "commandements" n'est pas, à proprement parler, un commandement, mais bien un comportement à adopter. J'ai basé chacun de ces commandements sur le temps passé à apprendre sur mon blog et celui d'autres, tant bien que sur des réflexions personnelles.

Au plaisir de vous retrouver sur mon blog quand, enfin, sera publié le guide.

vendredi 12 décembre 2008

Un phare au milieu de l'océan

Interprétez l'analogie du titre comme vous voulez, pour moi ça signifie surtout une lumière dans la noirceur version aquatique. Vous l'aurez peut-être compris si vous vous intéressez à mes publications, je faisais référence au guide du blogueur. Je ne dis pas que c'est la seule lumière dans l'océan, la seule étincelle au milieu des eaux tumultueuses, mais c'est tout de même une lumière qui, je l'espère, sera assez forte pour éclairer maintes chandelles, qui à leur tour seront des torches dans les nuits, torches qui guideront d'autres chandelles vers la lumière. Cette lumière, c'est l'apprentissage. Ou plutôt, le goût d'apprendre.

Le guide du blogueur se veut un appel à tous les apprenants de venir découvrir un outil d'apprentissage incroyablement mélioratif pour qui sait bien l'utiliser. Bien l'utiliser, c'est ce que vous enseigne notre guide, qui sera prochainement en ligne.

D'ici là, tâchez de patienter un peu. Je n'ai pas pu discuter avec Félix encore et je ne sais pas où il en est avec sa partie.

mercredi 3 décembre 2008

Conférences, évènements, panels... synthèse S.V.P.?,

Comme promis, je vais vous communiquer un retour sur les articles que j'ai écrits pour le blog du colloque. 4 en tout, ce qui n'est vraiment pas impressionnant, mais représente quand même le plus d'articles écrit par un journaliste, même par toute une équipe de journalistes (on parle ici de journalistes étudiants qui sont allés couvrir le colloque). Mon premier article concernait l'ouverture du colloque. Mon deuxième, sur une pièce de théâtre présentée lors de l'ouverture. Mon troisième, sur un panel qui portait sur les inégalités sociales en réussite scolaire. Finalement, mon quatrième, sur une conférence qui portait sur la violence psychologique. Je me rappelle aussi être allé à une conférence sur les différences en réussite éducative entre les milieux urbains et ruraux, sur laquelle j'ai pris des notes qui ont servi à une journaliste d'une autre équipe, mais pas à moi-même. Je vais quand même brièvement vous parler de l'ouverture du colloque et de la pièce de théâtre, que je considère comme assez réussies.

Bon, commençons par l'ouverture. En bref, je me suis chargé de couvrir l'ouverture, en vous donnant entre autres quelques données techniques, un mini-horaire des évènements, en plus de parler des buts, thèmes et valeurs mis de l'avant lors du colloque. Un extrait:

-"Le but de ce colloque est de permettre le partage des connaissances et des expériences des chercheurs et des praticiens afin de dresser un portrait de la situation en réussite éducative et de déterminer les actions que nous pouvons poser pour réformer cet état. On cherche à répandre de nouveaux savoirs, et à faire connaître les résultats de projets, d’études et de recherches sur la réussite. En partageant ces acquis et en les diffusant, en les concrétisant, on favorise le développement du système d’éducation d’aujourd’hui vers un avenir rempli d’innovation et de nouveauté."

(lien vers l'article ici)

Pendant l'ouverture, on nous a présenté un sketch de quelques minutes auquel certains de mes collègues journaliste-étudiants ont participé. J'ai par la suite écrit un article exclusivement sur la pièce, car elle portait un message que j'ai trouvé important. Bref, en voici deux extraits:

-"VENEZ NOUS CHERCHER, ON N’EST PEUT-ÊTRE PAS DE VOTRE ÉPOQUE, MAIS ON N’EST SI COMPLIQUÉ QUE ÇA; LE MONDE EST PLUS COMME A VOTRE ÉPOQUE, LE MONDE A CHANGÉ, MAIS LES JEUNES CA RESTE DES JEUNES…DONNEZ NOUS UN ESPACE DE PAROLE, ÉCOUTEZ NOUS ON PEUT VOUS AIDER A NOUS AIDER. …ADAPTER VOS MANIERES DE FAIRE… C’EST QUOI DÉJÀ, LE THEME DE VOTRE COLLOQUE…" (ensemble nous innovons)

-"Bref, nous les jeunes, on ne souhaite qu’une chose : vous aider à mieux nous enseigner."

(Ce bout de texte a aussi été utilisé sur l'Infobourg, dans certains des articles que nous avons fait et qu'ils ont exposés sur leur site, ici, ici, ici, ici, ici et ici (la citation est à la fin de chaque article))

(lien vers l'article ici)

Maintenant que je vous ai parlé de l'ouverture et de la pièce, je peux m'attaquer le panel, sur les inégalités sociales et la réussite scolaire. En bref, je parle de la quête d'une école parfaite pour leur enfant des parents, la guerre entre le privé et le public qui a mené à la création de programmes sélectifs, l'égalité des chances et la dynamique de mentorat d'un élève plus performant à un autre moins performant.

Les parents veulent la meilleure éducation pour leurs jeunes. En général, ils veulent une école qui permettra à leur enfant d'utiliser tout son talent et son potentiel pour le diriger vers un métier qui lui permettra d'être auto suffisant sur le plan économique. Personne n'enverra son enfant dans une école où la monnaie d'échange est la violence, la drogue, le gangstérisme ou la discrimination au lieu du savoir, à moins de ne pas en avoir le choix.

Le public, on le connaît bien. Gratuit, il permet à n'importe qui d'entrer et n'expulse qu'en cas de manquement grave aux règles de l'école. Jamais un élève ne sera balancé hors de l'école s'il a échoué un examen. Le public est ouvert à tous. Autant aux délinquants qu'aux premiers de classe. De façon générale, les parents des premiers de classe chercheront à leur offrir un milieu qui favorise le développement de leur compétence et l'acquisition de nouvelles compétences. Pour les parents d'élèves moins studieux, le choix importe moins: certains estiment la bataille déjà perdue et ne se soucient pas trop de l'éducation de leur jeune et d'autres, au contraire, tenteront d'envoyer leurs enfants aux meilleures écoles pour tenter de les ramener sur le droit chemin.

À cela s'ajoute les différences d'argent. Des parents pleins aux as, qui ont eux-mêmes très bien réussit à l'école, vont être plus portés à encourager le perfectionnisme chez leur enfant (parenthèse: soit dit en passant, le perfectionnisme est une mauvaise façon d'améliorer la performance de l'enfant, car il ne verra que les erreurs de son travail et deviendra un esclave du travail sans aucune estime de lui-même qui se mettra à penser que les bons résultats engendrent la gratification de la part de ses parents, ce qui ne faut pas encourager. Visez l'excellence, pas la perfection) et à tenter de les diriger vers les meilleurs programmes. Les enfants de parents plus fortunés disposent aussi, en général, d'une bibliothèque mieux remplie que la moyenne (les livres sont bourrés de savoir), de meilleur équipement de travail et de plus de ressources d'apprentissage. Mais cela ne veut pas dire que l'enfant est plus proche de ses parents. Souvent, le travail passe avant la famille dans ces cas-là.

Dans le cas des familles moins fortunées, la bibliothèque est moins remplie, l'équipement de travail manque et les ressources d'apprentissage sont moins présentes. Mais il n'y a pas qu'au niveau du matériel. La mentalité des parents riches les pousse à encourager la réussite de leur enfant, pour qu'ils puissent obtenir un standard de vie aussi haut que le leur. Le phénomène est moins présent dans les familles moins fortunées.

Bref, les enfants de familles riches sont plus portés à la réussite scolaire que les enfants de familles pauvres. Par conséquent, au public, on se retrouve avec deux classes d'enfants plus performants et moins performants. En général, les enfants plus performants viennent de familles plus fortunées ou où on encourage la réussite et les enfants moins performants, de familles moins fortunées ou où on encourage d'autres valeurs que la réussite. Les parents riches cherchent évidemment le mieux pour leurs enfants. Au public, l'encadrement est minimal, les cours suivent les commandements dictés par le ministère, les manuels classe sont vieux de quinze ans et le seul ordinateur de l'école est un Windows 98. Au privé, les élèves sont encadrés du matin au soir, toujours surveillés par l'œil averti d'un surveillant quelconque. On s'assure même que les jeunes font leurs devoirs en les gardant à l'école une heure avant de les envoyer chez-eux. Le matériel scolaire est neuf, les ordinateurs sont courants et de bonne qualité, les équipes sportives sont bien encadrées et équipées, les activités d'école sont fréquentes, voire quotidienne, etc.

Les directeurs d'école privées ne sont pas fous: ils ont compris que les enfants de familles pauvres ont moins de chances de réussite et ceux de familles riches, plus de chances. Résultat: pour entrer au privé, on doit s'arracher les yeux de la tête et les vendre sur un marché pas trop clair. Ainsi, on s'assure d'obtenir des enfants de parents fortunés, donc des enfants généralement très performants, ou au moins, de beaux billets à pattes qui financent l'éducation de leur enfant à coup de mille dollars. Ainsi, on a beaucoup d'argent pour financer toutes sortes de choses, tout en ne conservant que la crème de la crème. En effet, les élèves moins performants sont jetés dehors dès que leur moyenne plonge sous le seuil de réussite.

À cause de cela, les élèves performants se ramassent dans les écoles privées et les élèves moins performants s'en vont au public. Évidemment, le public n'est pas d'accord: lui aussi, il est capable d'offrir une bonne éducation et sans les élèves pour fournir de l'argent à l'école (les subventions du gouvernement marchent par nombre d'élèves fois un certain nombre d'argent par élève). Pour ramener les meilleurs élèves, le public crée des programmes sélectifs. On choisit les meilleurs professeurs, les cours les plus exigeants et on crée un programme demandant au niveau académique. De cette façon, on redirige certains étudiants d'écoles privées vers un programme qu'on dit aussi bon, mais moins coûteux.


Hmm. Je pensais faire une synthèse. Ceci ressemble plutôt à une réflexion. Ce n'est pas trop grave: je vais boucler le sujet et remettre à plus tard la synthèse sur la conférence.


L'égalité des chances, qu'est-ce que c'est? L'égalité des chances, c'est dire: on donne à tout le monde les mêmes chances de réussir. Une telle chose ne peut pas fonctionner. Pour cela, il faudrait soit éliminer le privé, soit le rendre gratuit et le subventionner encore plus, ou alors réformer complètement l'éducation. Même si on arrivait à faire cela, il faudrait encore penser que: Les élèves sont tous différents et n'ont pas besoin des mêmes choses, ce genre de choses peut mener à la concurrence des victimes et... c'est très cruel. En effet, si tu as tout pour réussir et que tu échoues, c'est que c'est toi le problème.

Pour ce qui est des élèves qui s'entraident, c'est quelque chose de difficile à instaurer, mais qui peut être fait en jumelant les élèves moins performants avec les élèves plus performants.

Ce qui conclut la "synthèse" d'aujourd'hui. À venir: La violence indirecte, faucheur social discret (la violence psychologique, un article sur la conférence que j'ai couverte).

mardi 2 décembre 2008

Les oiseaux ne savent pas que chanter...

('Que' comme dans seulement)

Vous avez sûrement entendu parler des lecteurs audio. Windows Media Player, iTunes, ça ne vous dit rien? Hé bien si vous ne les connaissez pas, ne vous en donnez pas la peine. Et si vous les connaissez, rangez-les dans un coin de votre mémoire où vous ne retournerez pas de sitôt et tournez vos têtes vers Songbird, le Firefox des lecteurs audio.

Les oiseaux, ils ne savent pas que chanter. En tout cas, quand ils s'appellent "Songbird" ils savent faire beaucoup plus que cela. On peut voir ici plusieurs des features de Songbird. Il fait tout ce que vos lecteurs traditionnels font, en plus d'une foule de nouveautés. Entre autres, le lecteur offre plusieurs services en-ligne, tels que des informations sur vos artistes préférés ou des suggestions sur des groupes du même style. Il y a aussi plusieurs services de téléchargement de musique, ainsi que des centaines de modules complémentaires.

Pour ceux qui veulent aller plus loin que les fonctionnalités, il y a possibilité de changer la "peau" (traduction de "skin" en anglais) de votre lecteur pour lui donner une apparence personnalisée. Le lecteur est ouvert aux modifications et aux ajouts en tout genre, donc vous pouvez vous-même créer des skins ou des gadgets pour améliorer votre expérience musicale.

Les services de mashtape sont aussi offert par le biais de votre lecteur. Vous pourrez donc voir une discographie de l'artiste que vous êtes en train d'écouter, regarder des photos et des vidéos et vous instruire sur ses membres et son histoire, même vous tenir à jour sur les nouvelles du groupe, comme des concerts, des nouveaux albums, etc.

Bon, c'est bien beau toutes ces nouvelles fonctionnalités, mais qu'en est-il des bases? Est-ce que les fonctionnalités essentielles sont là? Mais bien sûr! Les menus sont encore plus structurés, même!

Alors, qu'est-ce que vous attendez? Procurez-vous-le!

lundi 1 décembre 2008

Une histoire de réussite scolaire...

Il y a moins d'un an, je couvrais, avec une équipe d'une douzaine d'autres journalistes étudiants, le colloque "Ensemble nous innovons" sur la réussite éducative, organisé par le CTREQ en collaboration avec le MDEIE, le MELS, le MSSS et le secrétariat à la jeunesse. L'audacieux projet nous avait été présenté, à moi et à quelques-uns de mes camarades de secondaire 2, par notre professeur d'anglais François Guité, qui dépeignait avec justesse le colloque comme une occasion unique d'apprendre en dehors de l'école. Découvrir le monde palpitant du journalisme, se faire une bonne idée du statut de la réussite éducative au Québec et de comment l'atteindre et pourquoi pas, ajouter une ligne à notre C.V. La proposition alléchante en avait attiré plusieurs, mais les applications de seulement sept ou huit avait été retenues. L'équipe s'est complétée avec des élèves du programme ProTIC de l'école des Compagnons de Cartier. On a vite construit des petites équipes de trois et séparé les rôles: Écrivain/blogueur (le rôle que j'ai joué au sein de mon équipe), Techno (Informaticien, technicien) et Caméraman/Interviewer.

Bon, suffit de vous faire languir. Bref, une fois les équipes construites, nous avons pu couvrir quelques conférences et panels, faire des entrevues, écrire, se documenter, faire des entrevues... mais après tout ça, on n'a malheureusement pas pu se rencontrer et partager nos découvertes et nos apprentissages. J'ai donc décidé de le faire seul, sur mon blog. Dans les prochains jours, vous verrez apparaître ici la synthèse des éléments nouveaux que j'ai assimilés grâce à cette expérience. Entre autres, vous pourrez retrouver très bientôt:

-Un retour sur chaque conférence ou évènement que j'ai couvert.
-Une définition approfondie de la situation de la réussite éducative au Québec.
-Des suggestions pour susciter de l'innovation en réussite éducative.
-Et (probablement) bien plus encore!

Alors restez branchés à votre ordinateur, c'est pour bientôt! En attendant, pourquoi ne pas aller visiter les sites ci-dessous?

-Mon blog, dans la section "CTREQ"
-Mes articles sur le blog du colloque