J'ai décidé de passer à un autre blogue. Wordpress me semble être une meilleure plateforme que Blogger, tout simplement.
Voici ma nouvelle adresse: http://michaelld.wordpress.com/2009/12/
lundi 14 décembre 2009
mercredi 21 octobre 2009
L'avenir des blogues
J'ai reçu aujourd'hui même un message me disant qu'on souhaitait m'interviewer afin de savoir mon opinion sur l'avenir des blogues. Cela fait déjà très longtemps que j'ai publié sur le sujet (ou publié tout court), alors je m'adresse probablement à un nombre très réduit de gens qui m'ont conservé dans leur liste de fils RSS.
Mon opinion sur l'avenir des blogues est assez simple. Selon-moi, c'est très probablement là que va aboutir le journalisme. En effet, on ne peut pas écrire un article en 140 caractères. Ainsi donc, les sites de la trempe de Twitter ne serviront que de publicité pour les blogues des journalistes, qui balanceront les titres de leurs articles, accompagnés de liens vers leur domaines, en direction des internautes. La plupart d'entre eux (les internautes) se seront tournés vers des sites tels que Twitter et Facebook, des sites sur lesquels ils peuvent communiquer en une ou deux phrases et lire des messages de la même longueur. Seule une petite portion de ces internautes utilisera un blogue. Ces blogueurs, des gens capables de conserver leur lectorat grâce à un certain talent pour la communication, une assiduité et une constance infaillibles, seront les seuls à exploiter ce médium. Ou alors, peut-être qu'ils mettront leurs capacités à bien avec autre chose qu'un blogue. Un microblogue, par exemple. Finalement, c'est probablement là que tout se dirige. Le microblogging. Accessible, facile, efficace. Il restera sûrement de vrais blogues, mais si vous voulez mon avis, la majorité optera pour ce qu'il y a de plus simple. Le phénomène est déjà en cours, d'ailleurs.
En cette ère d'information-seconde, il faut bien se faire à l'idée qu'on n'a plus le temps de s'asseoir pour penser. Il faut constamment s'actualiser.
Le microblogue correspond mieux au besoin de communiquer que le blogue, car pour rédiger un microbillet, on n'a pas besoin d'écrire un texte, ni d'organiser ses idées, ni de se réviser longuement. Tout le monde peut le faire, certains le font mieux que d'autres. Il suffit de résumer ce qu'on a à dire.
Mon opinion sur l'avenir des blogues est assez simple. Selon-moi, c'est très probablement là que va aboutir le journalisme. En effet, on ne peut pas écrire un article en 140 caractères. Ainsi donc, les sites de la trempe de Twitter ne serviront que de publicité pour les blogues des journalistes, qui balanceront les titres de leurs articles, accompagnés de liens vers leur domaines, en direction des internautes. La plupart d'entre eux (les internautes) se seront tournés vers des sites tels que Twitter et Facebook, des sites sur lesquels ils peuvent communiquer en une ou deux phrases et lire des messages de la même longueur. Seule une petite portion de ces internautes utilisera un blogue. Ces blogueurs, des gens capables de conserver leur lectorat grâce à un certain talent pour la communication, une assiduité et une constance infaillibles, seront les seuls à exploiter ce médium. Ou alors, peut-être qu'ils mettront leurs capacités à bien avec autre chose qu'un blogue. Un microblogue, par exemple. Finalement, c'est probablement là que tout se dirige. Le microblogging. Accessible, facile, efficace. Il restera sûrement de vrais blogues, mais si vous voulez mon avis, la majorité optera pour ce qu'il y a de plus simple. Le phénomène est déjà en cours, d'ailleurs.
En cette ère d'information-seconde, il faut bien se faire à l'idée qu'on n'a plus le temps de s'asseoir pour penser. Il faut constamment s'actualiser.
Le microblogue correspond mieux au besoin de communiquer que le blogue, car pour rédiger un microbillet, on n'a pas besoin d'écrire un texte, ni d'organiser ses idées, ni de se réviser longuement. Tout le monde peut le faire, certains le font mieux que d'autres. Il suffit de résumer ce qu'on a à dire.
dimanche 14 juin 2009
Bloguer? Pourquoi?
Et pourquoi pas, hein?
J'ai remarqué quelque chose depuis que Twitter est devenu plus populaire, mais surtout depuis que la plupart des blogueurs dont les blogues m'intéressent se sont mis à l'utiliser. C'est un phénomène que j'ai pu vivre moi-même, lorsque je me suis mis à utiliser Twitter à plus grande fréquence.
Il est beaucoup plus facile d'écrire un message de 140 caractères que de rédiger un article complet.
La phrase en italique ci-haut n'est pourtant pas le phénomène que j'ai remarqué. C'est tout simplement que, comme il est beaucoup plus facile de transmettre l'information avec Twitter, entretenir un blogue devient une perte de temps. On ne voit plus le besoin de se casser la tête à écrire un texte structuré, il suffit d'écrire une quarantaine de mots et vlan! L'information se rend à tous nos followers en un rien de temps, et on est certain que l'information se rend (ils ne liront peut-être pas le tweet, mais c'est déjà plus fiable qu'avec un blogue: lire un tweet, c'est tellement court qu'on peut bien en lire une centaine et avoir passé moins de temps à lire qu'en ayant lu une note sur un blogue. Commenter est aussi plus facile: un autre tweet de 140 caractères et voilà, on sait ce que vous en pensez. Encore une fois, pas besoin de se creuser la tête. Diffuser le travail d'un autre est aussi beaucoup plus facile: on appuie sur un bouton et le tour est joué!
Le problème avec cette facilité, c'est qu'on se retrouve bombardé d'information, qu'on retransmet à qui-mieux-mieux sans nécessairement l'avoir bien acquise. Avec Twitter, on peut bien parler de cinquante choses en une journée sans en retenir plus de cinq, alors qu'avec un blogue, on peut bien parler d'une seule chose par jour et non seulement s'en rappeller, mais avoir développé sa conscience et son esprit critique par rapport à cette chose-là.
Il faut toutefois voir l'autre côté de la médaille: Avec Twitter, on peut non seulement parler d'une cinquantaine de choses, on peut aussi lire sur plusieurs centaines de choses et sélectionner celles qui nous intéressent le plus. Avec un blogue, c'est plus difficile.
En cette ère d'information-seconde, il faut bien se faire à l'idée qu'on n'a plus le temps de s'asseoir pour penser à quelque chose en particulier. Il faut constamment s'actualiser.
Bien sûr, je vois surtout les mauvais côtés de la chose. Les bons? Il y en a? Au rythme auquel l'information apparaît, il faudrait presque qu'on ait un robot pour sélectionner les messages intéressants/pertinents pour nous, avant qu'on ne les lise.
Bref, comme je l'ai mentionné plus tôt, un blogueur qui se met à utiliser Twitter va avoir tendance à déserter son blogue parce qu'il est plus facile d'écrire, de publier et de se faire entendre avec Twitter qu'avec un blogue.
C'est même tellement facile de se faire entendre qu'il y a des gens qui s'amusent à accumuler le plus de followers possible.
Est-ce que Twitter est-là pour rester? Est-ce que bloguer est vraiment devenu une chose du passé? D'accord, j'exagère. Il y a encore beaucoup de blogueurs, mais j'ai l'impression que c'est une espèce en voie de disparition. Et puis quand on y pense, de quoi parlent les Twits (nom supposé que je donne aux utilisateurs de Twitter, comme je me rappelle avoir lu quelque part une définition de "Twit" qui impliquait que la personne ainsi qualifiée disait des choses sans importance, ce qui est le cas avec (j'ose le dire?) la majorité des utilisateurs du site)? Une portion relativement importante des tweets porte sur des articles de blogues, de journaux, ou d'autres.
Peut-être qu'éventuellement, Twitter deviendra lui aussi désuet et qu'il sera remplacer par un autre service plus efficace. Après tout, n'est-ce pas le média social à la plus faible rétention d'utilisateurs?
Sur une tout autre note, vous aurez remarqué que j'ai fait quelques changements à la mise en page de mon blogue. Ce ne sont que quelques changements de transition (ou peut-être sont-ils là pour rester? personnellement, j'aime bien ce look plus sobre.
J'ai remarqué quelque chose depuis que Twitter est devenu plus populaire, mais surtout depuis que la plupart des blogueurs dont les blogues m'intéressent se sont mis à l'utiliser. C'est un phénomène que j'ai pu vivre moi-même, lorsque je me suis mis à utiliser Twitter à plus grande fréquence.
Il est beaucoup plus facile d'écrire un message de 140 caractères que de rédiger un article complet.
La phrase en italique ci-haut n'est pourtant pas le phénomène que j'ai remarqué. C'est tout simplement que, comme il est beaucoup plus facile de transmettre l'information avec Twitter, entretenir un blogue devient une perte de temps. On ne voit plus le besoin de se casser la tête à écrire un texte structuré, il suffit d'écrire une quarantaine de mots et vlan! L'information se rend à tous nos followers en un rien de temps, et on est certain que l'information se rend (ils ne liront peut-être pas le tweet, mais c'est déjà plus fiable qu'avec un blogue: lire un tweet, c'est tellement court qu'on peut bien en lire une centaine et avoir passé moins de temps à lire qu'en ayant lu une note sur un blogue. Commenter est aussi plus facile: un autre tweet de 140 caractères et voilà, on sait ce que vous en pensez. Encore une fois, pas besoin de se creuser la tête. Diffuser le travail d'un autre est aussi beaucoup plus facile: on appuie sur un bouton et le tour est joué!
Le problème avec cette facilité, c'est qu'on se retrouve bombardé d'information, qu'on retransmet à qui-mieux-mieux sans nécessairement l'avoir bien acquise. Avec Twitter, on peut bien parler de cinquante choses en une journée sans en retenir plus de cinq, alors qu'avec un blogue, on peut bien parler d'une seule chose par jour et non seulement s'en rappeller, mais avoir développé sa conscience et son esprit critique par rapport à cette chose-là.
Il faut toutefois voir l'autre côté de la médaille: Avec Twitter, on peut non seulement parler d'une cinquantaine de choses, on peut aussi lire sur plusieurs centaines de choses et sélectionner celles qui nous intéressent le plus. Avec un blogue, c'est plus difficile.
En cette ère d'information-seconde, il faut bien se faire à l'idée qu'on n'a plus le temps de s'asseoir pour penser à quelque chose en particulier. Il faut constamment s'actualiser.
Bien sûr, je vois surtout les mauvais côtés de la chose. Les bons? Il y en a? Au rythme auquel l'information apparaît, il faudrait presque qu'on ait un robot pour sélectionner les messages intéressants/pertinents pour nous, avant qu'on ne les lise.
Bref, comme je l'ai mentionné plus tôt, un blogueur qui se met à utiliser Twitter va avoir tendance à déserter son blogue parce qu'il est plus facile d'écrire, de publier et de se faire entendre avec Twitter qu'avec un blogue.
C'est même tellement facile de se faire entendre qu'il y a des gens qui s'amusent à accumuler le plus de followers possible.
Est-ce que Twitter est-là pour rester? Est-ce que bloguer est vraiment devenu une chose du passé? D'accord, j'exagère. Il y a encore beaucoup de blogueurs, mais j'ai l'impression que c'est une espèce en voie de disparition. Et puis quand on y pense, de quoi parlent les Twits (nom supposé que je donne aux utilisateurs de Twitter, comme je me rappelle avoir lu quelque part une définition de "Twit" qui impliquait que la personne ainsi qualifiée disait des choses sans importance, ce qui est le cas avec (j'ose le dire?) la majorité des utilisateurs du site)? Une portion relativement importante des tweets porte sur des articles de blogues, de journaux, ou d'autres.
Peut-être qu'éventuellement, Twitter deviendra lui aussi désuet et qu'il sera remplacer par un autre service plus efficace. Après tout, n'est-ce pas le média social à la plus faible rétention d'utilisateurs?
Sur une tout autre note, vous aurez remarqué que j'ai fait quelques changements à la mise en page de mon blogue. Ce ne sont que quelques changements de transition (ou peut-être sont-ils là pour rester? personnellement, j'aime bien ce look plus sobre.
samedi 30 mai 2009
To kill a tweeting bird
I have decided to take my leave from Twitter, the now-popular social media website everyone's talking about. It's not that I'm worried my future employer might find some ugly thing I've tweeted (like I've tweeted ugly things, pff), or that my brain is going to turn into jelly. The thing is, I just don't feel like posting updates for 97% people I've never even seen in real life, 52% of which are marketers, 34% are spammers, and maybe a good 11% whom are actual friends or particularly interesting people (statistics may not be accurate). In fact, I don't think these people care much about what I am doing with my life, either (sure, maybe some of them do, but then again that's not the majority).
This is not meant to be an offense to any of my followers or to any of the people I was following.
Rather, it is meant to be a final goodbye to each and everyone of these people (except the previously mentionned 11% actual friends or particularly interesting people).
My bird is dead and you probably won't hear from him again. Until maybe one day I'll make another account and start over. But when that happens, it probably won't be on Twitter.
This is not meant to be an offense to any of my followers or to any of the people I was following.
Rather, it is meant to be a final goodbye to each and everyone of these people (except the previously mentionned 11% actual friends or particularly interesting people).
My bird is dead and you probably won't hear from him again. Until maybe one day I'll make another account and start over. But when that happens, it probably won't be on Twitter.
samedi 23 mai 2009
Lendemain de Toronto
Que de misère j'ai à comprendre ceux qui ne vont pas aux voyages de fin d'année sous prétexte qu'ils sont "déjà allés". Il est évident qu'on ne va pas là pour la place. On ne va pas là non plus pour s'enrichir culturellement ou pour voir du pays. Hé bien, peut-être un peu, mais plus que tout, on y va pour le plaisir. Le "trip" d'être entre amis et de faire des activités délirantes qu'on ne pourrait pas faire à Québec.
Je suis de retour de mon plus récent voyage de niveau à Toronto, de retour sous la pile de devoirs et d'étude. Au loin, une file d'examens pour lesquels je dois me préparer. Je vais répondre à vos questions (du moins, celles que je crois que vous voudriez me poser) comme suit:
"Alors, comme tu es de retour, est-ce que tu vas recommencer à bloguer de façon régulière comme tu l'avais dit dans ton dernier B.I.L.A.N. ?"
Je ne garantis rien à cet endroit, étant donné les obstacles (devoirs et étude) précédemment mentionnés.
"Et le guide du blogueur? Où est-il?"
... Autre question?
"Qu'en est-il du guide de l'apprenti bloguer? Quel est son emplacement?"
Bel essai, mais meilleure chance la prochaine fois.
"Et le GAB?"
Bon, c'est assez pour les questions.
Je vais voir ce que je peux faire, mais je ne fais plus de garantie.
Je suis de retour de mon plus récent voyage de niveau à Toronto, de retour sous la pile de devoirs et d'étude. Au loin, une file d'examens pour lesquels je dois me préparer. Je vais répondre à vos questions (du moins, celles que je crois que vous voudriez me poser) comme suit:
"Alors, comme tu es de retour, est-ce que tu vas recommencer à bloguer de façon régulière comme tu l'avais dit dans ton dernier B.I.L.A.N. ?"
Je ne garantis rien à cet endroit, étant donné les obstacles (devoirs et étude) précédemment mentionnés.
"Et le guide du blogueur? Où est-il?"
... Autre question?
"Qu'en est-il du guide de l'apprenti bloguer? Quel est son emplacement?"
Bel essai, mais meilleure chance la prochaine fois.
"Et le GAB?"
Bon, c'est assez pour les questions.
Je vais voir ce que je peux faire, mais je ne fais plus de garantie.
dimanche 3 mai 2009
What are YOU doing?
An article of Tweets. Enjoy.
"I like Twitter... it lets me know what people are doing. Too bad it's not always interesting."
"I use Twitter at work. It's useful, 'cause I can tell my colleagues when our boss is coming around."
"Twitter: Facebook, except with less functionalities and no information-stealing."
"It's a bit like having a cellphone strapped to my head, with dozens of people speaking through it."
"Too bad so many people are trying to tell me how to tweet. I'm just trying to tell people what I'm doing, not become a pro twitter."
"Well, got to go now. Tweet you all later!"
This is rather a quickie. It doesn't cover too many aspects of twitter, but it still covers a few in a rather subtle way. Actually, it doesn't cover the aspect of twitter I like most: It forces you to be concise, to find other ways to say things in a shorter way.
Hope you enjoyed it, even if it was short.
"I like Twitter... it lets me know what people are doing. Too bad it's not always interesting."
"I use Twitter at work. It's useful, 'cause I can tell my colleagues when our boss is coming around."
"Twitter: Facebook, except with less functionalities and no information-stealing."
"It's a bit like having a cellphone strapped to my head, with dozens of people speaking through it."
"Too bad so many people are trying to tell me how to tweet. I'm just trying to tell people what I'm doing, not become a pro twitter."
"Well, got to go now. Tweet you all later!"
This is rather a quickie. It doesn't cover too many aspects of twitter, but it still covers a few in a rather subtle way. Actually, it doesn't cover the aspect of twitter I like most: It forces you to be concise, to find other ways to say things in a shorter way.
Hope you enjoyed it, even if it was short.
mardi 28 avril 2009
Moi? Visionnaire du web? :)
Tel était le message que je publiais tout à l'heure sur Twitter (vous comprendrez qu'il est plus rapide de mettre les gens au fait en 140 mots qu'en écrivant un article complet), pour laisser savoir à mes followers que je faisais partie des "Visionnaires du Web" présentés sur le blogue du CEFRIO . Quel honneur d'être présenté aux côtés de grands pédagogues tels que Mario Asselin et François Guité, ainsi que Félix Gingras-Genest, ami blogueur et co-auteur (je suis le second co-auteur) du Guide de l'Apprenti-Blogueur("un guide destiné à tous les apprenti-blogueurs de ce monde, ainsi qu'à ceux qui bloguent déjà!").
Je ne sais pas exactement ce qu'implique être un "Visionnaire du Web", mais j'ai ma petite idée là-dessus. Sûrement un individu novateur aux propos recherchés et aux idées modernes.
Peu importe ce que cela veut dire, le fait d'avoir été ainsi qualifié me donne le goût de m'intéresser aux actes du colloque et d'améliorer ma pratique carnetière. C'est aussi une bonne motivation à continuer le Guide de l'Apprenti-Blogueur qui, je l'espère, sera finit bientôt (évidemment, il ne sera jamais vraiment finit, comme je continuerai de le mettre à jour une fois sa publication définitive).
Encore une fois (ah non, en fait c'est la première, mais tout de même...), merci! :)
Je ne sais pas exactement ce qu'implique être un "Visionnaire du Web", mais j'ai ma petite idée là-dessus. Sûrement un individu novateur aux propos recherchés et aux idées modernes.
Peu importe ce que cela veut dire, le fait d'avoir été ainsi qualifié me donne le goût de m'intéresser aux actes du colloque et d'améliorer ma pratique carnetière. C'est aussi une bonne motivation à continuer le Guide de l'Apprenti-Blogueur qui, je l'espère, sera finit bientôt (évidemment, il ne sera jamais vraiment finit, comme je continuerai de le mettre à jour une fois sa publication définitive).
Encore une fois (ah non, en fait c'est la première, mais tout de même...), merci! :)
dimanche 19 avril 2009
mercredi 15 avril 2009
Vous NET jamais seul
Aujourd'hui, conférence sur la cybercriminalité. Comme c'est un sujet qui me touche particulièrement (ce que je pourrais en être victime, pas que je un cybercriminel), je me dois d'en parler au moins un peu sur mon blogue. Ce sera donc un texte en deux parties: mon opinion sur la conférence, ainsi qu'une réflexion sur la cybercriminalité.
Ce que j'en ai pensé: Bonne conférence. Le support visuel était excellent, avec la vidéo (ci-bas) très bien montée et un powerpoint clair et efficace. Toutefois, j'aurais aimé entendre parler plus de cyberintimidation, un phénomène plus proche des jeunes de mon âge que la cyberprédation ou l'hameçonnage. Nous n'avons pas eu d'exemples de cyberintimidation, de façons de se défendre contre cette pratique répréhensible ou de trucs pour la prévenir. Sinon, la conférencière semblait assez bien connaître son sujet, malgré un certain nombre d'hésitations occasionnelles et son ignorance par rapport au réseau social facebook (selon elle, c'était soit un forum de discussion, une blogosphère ou un site d'échange de photos... c'est en fait un peu des trois, avec une dizaine d'autres fonctions).
La vidéo, ici: http://www.visitevideo.com/detail_video.php?id=31
Et la vidéo, qu'en ai-je pensé?: Vidéo très bien montée et filmée. Toutefois, je crois qu'il aurait été bien d'aborder un autre thème que celui de "la fille naïve qui se déshabille devant sa webcam pour faire plaisir à son chum". En effet, ce cas est extrêmement rare. Grave, mais très peu commun. Il reste quand même un bon exemple des effets de l'ordinateur sur la morale humaine: on ne se rend pas compte qu'il y quelqu'un derrière la machine et on oublie la dimension morale, on se croit tout permis. Ainsi, ce thème était pertinent, mais il aurait été plus plausible de parler de cyberintimidation, un cas beaucoup plus fréquent et parfois aussi grave, souvent même, d'autant plus qu'il soit autant banalisé. Néanmoins, je trouve que les techniciens ayant conçu ce court film ont fait du bon travail.
Bon, finalement, pour aujourd'hui, je vais me contenter d'une appréciation de la conférence. Demain, attendez-vous à une réflexion profonde, comme je devrais en faire plus souvent! ;)
(P.S: Peut-être certain ont-ils remarqué la suppression des libellés de la mise en page de mon blogue, ainsi que l'absence de libellés sur les derniers articles que j'ai publiés. Le fait est que, je les trouve inutiles (bien sûr, ils peuvent vous aider à retrouver des notes similaires à celle que vous venez de lire et que vous avez aimée parce qu'elle touchait à un sujet qui vous interpelle particulièrement, mais bon))
En fait, pour être honnête, je suis trop las pour catégoriser chaque article. Ça, et le fait que j'avais fait des phautts d'auretheaugraff sur certains libellés.
Ce que j'en ai pensé: Bonne conférence. Le support visuel était excellent, avec la vidéo (ci-bas) très bien montée et un powerpoint clair et efficace. Toutefois, j'aurais aimé entendre parler plus de cyberintimidation, un phénomène plus proche des jeunes de mon âge que la cyberprédation ou l'hameçonnage. Nous n'avons pas eu d'exemples de cyberintimidation, de façons de se défendre contre cette pratique répréhensible ou de trucs pour la prévenir. Sinon, la conférencière semblait assez bien connaître son sujet, malgré un certain nombre d'hésitations occasionnelles et son ignorance par rapport au réseau social facebook (selon elle, c'était soit un forum de discussion, une blogosphère ou un site d'échange de photos... c'est en fait un peu des trois, avec une dizaine d'autres fonctions).
La vidéo, ici: http://www.visitevideo.com/detail_video.php?id=31
Et la vidéo, qu'en ai-je pensé?: Vidéo très bien montée et filmée. Toutefois, je crois qu'il aurait été bien d'aborder un autre thème que celui de "la fille naïve qui se déshabille devant sa webcam pour faire plaisir à son chum". En effet, ce cas est extrêmement rare. Grave, mais très peu commun. Il reste quand même un bon exemple des effets de l'ordinateur sur la morale humaine: on ne se rend pas compte qu'il y quelqu'un derrière la machine et on oublie la dimension morale, on se croit tout permis. Ainsi, ce thème était pertinent, mais il aurait été plus plausible de parler de cyberintimidation, un cas beaucoup plus fréquent et parfois aussi grave, souvent même, d'autant plus qu'il soit autant banalisé. Néanmoins, je trouve que les techniciens ayant conçu ce court film ont fait du bon travail.
Bon, finalement, pour aujourd'hui, je vais me contenter d'une appréciation de la conférence. Demain, attendez-vous à une réflexion profonde, comme je devrais en faire plus souvent! ;)
(P.S: Peut-être certain ont-ils remarqué la suppression des libellés de la mise en page de mon blogue, ainsi que l'absence de libellés sur les derniers articles que j'ai publiés. Le fait est que, je les trouve inutiles (bien sûr, ils peuvent vous aider à retrouver des notes similaires à celle que vous venez de lire et que vous avez aimée parce qu'elle touchait à un sujet qui vous interpelle particulièrement, mais bon))
En fait, pour être honnête, je suis trop las pour catégoriser chaque article. Ça, et le fait que j'avais fait des phautts d'auretheaugraff sur certains libellés.
lundi 13 avril 2009
Le cycle de l'interdit.
Pourquoi a-t-on inventé la loi? Pour empêcher les abus. Empêcher les gens de se faire mal à eux-mêmes ou à autrui (en fait, surtout à autrui, parce quand les gens se font mal, ça finit toujours par retomber sur les autres). L'abus entraîne donc la loi, les règles, les restrictions. L'absence de comportement abusif entraîne l'absence de régulation de quelque sorte. En effet, pourquoi régulerait-on quelque chose si son utilisation n'est pas excessive (cela dit, à part pour en tirer profit...)? Bref, qu'arrive-t-il lorsqu'on bloque l'accès à quelque chose? On ne parle pas ici de limiter. On parle d'empêcher complètement l'utilisation d'un service autrefois libre. Vous aurez compris que je parle d'internet. En effet, je n'ai plus accès au réseau chez-nous. Mais comme on le dit si bien un peu partout, "il n'y a pas de meilleur climat pour la révolte que l'interdit" ou "quand l'injustice devient la loi, la révolte est un devoir". Évidemment, si on ne fait que bloquer mon adresse I.P, je peux quand même me connecter de mille façons. L'une de ces façons est de trouver un autre réseau accessible librement. Ce que je fis. Néanmoins, c'est le seul truc que je révèlerai ici.
Bon, bref, tout ça pour vous dire, attendez-vous à ce que je publie moins (moins qu'en ce moment, Mike, est-ce possible?). Peu importe. Je vais m'assurer de continuer quand même le guide du blogueur, malgré qu'on veuille réguler mon utilisation de l'ordinateur aussi, par une méthode qui me laisse impuissant. En effet, une serrure, il n'y a pas grand chose à faire avec ça.
En fait, il est probable que ça me fasse du bien. Renouer avec l'art perdu du crayon/papier, ce sera amusant. C'est ainsi que je compte continuer le guide, d'ailleurs. Sur papier (oui, oui, je vais le taper à l'ordinateur après).
Finalement, chers visiteurs, je vous dis adieu. Ou pas (on verra pour ça, hein! ;D).
Bon, bref, tout ça pour vous dire, attendez-vous à ce que je publie moins (moins qu'en ce moment, Mike, est-ce possible?). Peu importe. Je vais m'assurer de continuer quand même le guide du blogueur, malgré qu'on veuille réguler mon utilisation de l'ordinateur aussi, par une méthode qui me laisse impuissant. En effet, une serrure, il n'y a pas grand chose à faire avec ça.
En fait, il est probable que ça me fasse du bien. Renouer avec l'art perdu du crayon/papier, ce sera amusant. C'est ainsi que je compte continuer le guide, d'ailleurs. Sur papier (oui, oui, je vais le taper à l'ordinateur après).
Finalement, chers visiteurs, je vous dis adieu. Ou pas (on verra pour ça, hein! ;D).
vendredi 3 avril 2009
Guide du blogueur: Résurrection
J'ai repris le goût de bloguer, et par la même d'écrire le Guide du blogueur. Je ne sais pas si Félix en a encore le goût, lui. Néanmoins, je me rappelle de mon engagement envers monsieur Giroux, ainsi que du fait que j'ai toujours apprécié écrire et aider les autres à le faire. Posséder un talent et le partager, c'est ce qu'il y a de plus beau. Je me fixe un délais de deux semaine pour le terminer, étant donné que j'ai déjà écrit la plupart des textes constituant ma partie.
@Félix: Si tu as envie de participer, pour qu'on puisse enfin donner aux apprentis-blogueurs (et à monsieur Giroux) de ce monde la chance d'apprendre à l'aide d'un blogue, alors écris-moi un commentaire et on s'arrangera un wiki ou quelque chose du genre.
@Félix: Si tu as envie de participer, pour qu'on puisse enfin donner aux apprentis-blogueurs (et à monsieur Giroux) de ce monde la chance d'apprendre à l'aide d'un blogue, alors écris-moi un commentaire et on s'arrangera un wiki ou quelque chose du genre.
mercredi 1 avril 2009
C'est finit.
Bloguer, c'est pas mon truc. Je viens de m'inscire à facebook et je compte passer au minimum 12 heures par jour dessus. Cliquez ici pour accéder à ma page personnelle d'utilisateur facebook.
Allez, rendez-vous sur ma page perso!
Allez, rendez-vous sur ma page perso!
vendredi 27 mars 2009
Le hasard de l'administration scolaire...
Les Maths 436, connaissez? Ou plutôt, "connaissiez"? Maintenant, tout ça n'existe plus. Avec la réforme, on présente plutôt deux programmes fondamentalement différents. Technico-science, pour ceux qui veulent suivre des méthodes pratiques et Sciences Naturelles, pour ceux qui veulent remettre en question ces méthodes et les améliorer. On voit tout de suite, de l'angle que j'ai choisit pour voir ce choix, que mon opinion est fortement biaisé en faveur des Sciences Naturelles. Plus crument, on dirait: "Ceux qui suivent et ceux qui mènent." (Technico et Naturelles)
Hé bien cette année, j'ai eu à décider lequel de ces deux programmes me serait enseigné l'an prochain, mais grâce au manque d'organisation de la direction (ou de tout autre instance scolaire ayant joué un rôle dans ce grand foutoir), je me suis retrouvé à faire le choix non-éclairé du cours Technico-science. Pourquoi? Je vais vous dire pourquoi...
Tout a commencé avec une conférence-surprise d'une orienteuse pas trop connaissante (ou compétente, FTM) dans son domaine, qui nous a expliqué mille choses qu'on savait déjà et mille autres qu'on avait nul besoin de savoir, pour ensuite nous expliquer les choix de cours en mathématiques. Nous les anti-expliquer, en fait, car ce n'était pas du tout clair. Le fait est qu'elle avait peur des mots. Elle avait peur de dire: tel programme oriente vers tel cours au cégep, tel programme est plus fort, etc. C'était tellement mal expliqué que j'ai compris que Technico-science était un cours remplit de défis et plus difficile que Sciences Naturelles, la vérité étant en fait tout autre. La raison pourquoi Technico-science est plus difficile que Sciences Naturelles, c'est qu'il n'est pas prêt, tout simplement.
Après cette présentation d'une heure fort ennuyeuse, on nous balança notre premier et dernier choix et on nous donna cinq minutes pour décider lequel des deux programmes on souhaitait prendre. Évidemment, je cochai Technico-science, comme j'avais cru comprendre que c'était un programme plus difficile (voyez-vous, cette année, en mathématiques, je m'ennuie).
Puis, il y eut une conférence à nos parents et une autre mini-conférence en classe avec une autre orienteuse qui est venue pour nous demander nos autres choix, c'est-à-dire Musique, Art dramatique ou Arts plastiques. Encore une fois, elle ne semblait pas posséder son sujet, et de la façon dont elle l'expliquait, un élève qui a déjà fait un an d'arts plastiques a autant de chances de continuer en arts plastiques (si c'est son choix) qu'un élève d'un an d'art dramatique qui veut s'en aller en arts plastiques. Quelqu'un leva sa main pour demander: "Comment faites-vous pour donner son choix à tout le monde?", ce à quoi elle répondit: "Hé bien, ça, on le laisse au hasard de l'administration scolaire!" (insérer rire démoniaque ici).
Le satané hasard de l'administration scolaire, probablement le même qui a poussé la direction à organiser nos choix de cours de mathématiques d'un façon si saugrenue. On nous bombarde d'informations impertinentes, on nous demande de faire un choix, on dit à nos parents de venir à l'école pour leur refiler des explications ni claires ni pertinentes et on nous dit qu'il n'est plus possible de changer. On rit de notre gueule, finalement.
Et maintenant, il faut que j'aille voir l'orienteuse pour démêler tout ça et lui faire comprendre que je ne veux pas aller en Technico-science (comme je l'avais écrit au départ, après avoir été attiré par de fausses informations), mais en Sciences Naturelles (comme je me suis dépêché d'écrire sur les feuilles de choix dès que je les ai revues).
Bref, l'administration scolaire, c'est un jeu de hasard qui nous a amené de beaux gâchis tels que la destruction de l'E.L.A., l'installationd de caméras à tous les coins de corridor et maintenant, la confusion des choix de cours de mathématiques.
Hé bien cette année, j'ai eu à décider lequel de ces deux programmes me serait enseigné l'an prochain, mais grâce au manque d'organisation de la direction (ou de tout autre instance scolaire ayant joué un rôle dans ce grand foutoir), je me suis retrouvé à faire le choix non-éclairé du cours Technico-science. Pourquoi? Je vais vous dire pourquoi...
Tout a commencé avec une conférence-surprise d'une orienteuse pas trop connaissante (ou compétente, FTM) dans son domaine, qui nous a expliqué mille choses qu'on savait déjà et mille autres qu'on avait nul besoin de savoir, pour ensuite nous expliquer les choix de cours en mathématiques. Nous les anti-expliquer, en fait, car ce n'était pas du tout clair. Le fait est qu'elle avait peur des mots. Elle avait peur de dire: tel programme oriente vers tel cours au cégep, tel programme est plus fort, etc. C'était tellement mal expliqué que j'ai compris que Technico-science était un cours remplit de défis et plus difficile que Sciences Naturelles, la vérité étant en fait tout autre. La raison pourquoi Technico-science est plus difficile que Sciences Naturelles, c'est qu'il n'est pas prêt, tout simplement.
Après cette présentation d'une heure fort ennuyeuse, on nous balança notre premier et dernier choix et on nous donna cinq minutes pour décider lequel des deux programmes on souhaitait prendre. Évidemment, je cochai Technico-science, comme j'avais cru comprendre que c'était un programme plus difficile (voyez-vous, cette année, en mathématiques, je m'ennuie).
Puis, il y eut une conférence à nos parents et une autre mini-conférence en classe avec une autre orienteuse qui est venue pour nous demander nos autres choix, c'est-à-dire Musique, Art dramatique ou Arts plastiques. Encore une fois, elle ne semblait pas posséder son sujet, et de la façon dont elle l'expliquait, un élève qui a déjà fait un an d'arts plastiques a autant de chances de continuer en arts plastiques (si c'est son choix) qu'un élève d'un an d'art dramatique qui veut s'en aller en arts plastiques. Quelqu'un leva sa main pour demander: "Comment faites-vous pour donner son choix à tout le monde?", ce à quoi elle répondit: "Hé bien, ça, on le laisse au hasard de l'administration scolaire!" (insérer rire démoniaque ici).
Le satané hasard de l'administration scolaire, probablement le même qui a poussé la direction à organiser nos choix de cours de mathématiques d'un façon si saugrenue. On nous bombarde d'informations impertinentes, on nous demande de faire un choix, on dit à nos parents de venir à l'école pour leur refiler des explications ni claires ni pertinentes et on nous dit qu'il n'est plus possible de changer. On rit de notre gueule, finalement.
Et maintenant, il faut que j'aille voir l'orienteuse pour démêler tout ça et lui faire comprendre que je ne veux pas aller en Technico-science (comme je l'avais écrit au départ, après avoir été attiré par de fausses informations), mais en Sciences Naturelles (comme je me suis dépêché d'écrire sur les feuilles de choix dès que je les ai revues).
Bref, l'administration scolaire, c'est un jeu de hasard qui nous a amené de beaux gâchis tels que la destruction de l'E.L.A., l'installationd de caméras à tous les coins de corridor et maintenant, la confusion des choix de cours de mathématiques.
vendredi 20 mars 2009
Comment écrire?
J'ai parfois l'impression que tout a déjà été écrit, seulement dans d'autres mots, et par la même qu'il est impossible d'écrire quelque chose de fondamentalement nouveau. Même si on ne pense qu'à ce qui a été écrit en Français, il y en a toujours assez pour tout couvrir. La seule façon de se donner un semblant de nouveauté, c'est de se gaver de vocabulaire et de tenter de le régurgiter mieux que tout le monde avant nous.
Alors, comment écrire? Comment produire quelque chose de nouveau? Bien sûr, il y a une infinité d'angles d'attaque à utiliser pour traiter un sujet, mais en définitive, un mot à la place d'un autre ne constitue pas un changement majeur.
Finalement, écrire, c'est plutôt perpétuer un cycle que révolutionner un média. Pour faire naître quelque chose de nouveau en écriture, il faut du talent et un esprit différent. Sinon, on ne fait que recréer ce qui l'a déjà été.
Sur Twitter: Se demande s'il y a une façon d'écrire quelque chose de nouveau.
Alors, comment écrire? Comment produire quelque chose de nouveau? Bien sûr, il y a une infinité d'angles d'attaque à utiliser pour traiter un sujet, mais en définitive, un mot à la place d'un autre ne constitue pas un changement majeur.
Finalement, écrire, c'est plutôt perpétuer un cycle que révolutionner un média. Pour faire naître quelque chose de nouveau en écriture, il faut du talent et un esprit différent. Sinon, on ne fait que recréer ce qui l'a déjà été.
Sur Twitter: Se demande s'il y a une façon d'écrire quelque chose de nouveau.
dimanche 15 mars 2009
Créez vos propres bandes dessinées!
Avec bitstrips, vous pouvez créer vos propres bandes dessinées aisément, dans lesquels vous pouvez même vous inclure! Si l'inspiration n'est pas à son fort, alors vous pourrez toujours lire les bandes dessinées d'autres utilisateurs. L'outil est simple à utiliser et complet, ce qui permet de créer des bandes dessinées détaillées rapidement. Voici un exemple:
Bien sûr, cette caricature aurait probablement été plus appropriée lors des élections américaines, mais bon.
La création de bandes dessinées ou de personnages est, comme je l'ai précédemment mentionné, très simple. Après une trentaine de minutes de familiarisation avec le programme, vous saurez tout ce qu'il y a à savoir et serez prêt à commencer.
Alors, allez-y! Faites de vous un dessinateur (et un personnage) de B.D.!
Bien sûr, cette caricature aurait probablement été plus appropriée lors des élections américaines, mais bon.
La création de bandes dessinées ou de personnages est, comme je l'ai précédemment mentionné, très simple. Après une trentaine de minutes de familiarisation avec le programme, vous saurez tout ce qu'il y a à savoir et serez prêt à commencer.
Alors, allez-y! Faites de vous un dessinateur (et un personnage) de B.D.!
samedi 14 mars 2009
Moi aussi, j'suis un twit!
J'ai rejoint Twitter. Regardez en bas de page pour voir mes mises à jour les plus récentes!
mercredi 11 mars 2009
Opinion de pape: le viol vaut mieux que l'avortement!
Ici (lisez la dépêche, elle est déjà assez courte comme ça sans que je vous la résume), nous pouvons constater encore une fois le jugement arriéré de l'Église catholique. Dans ce cas-ci, la loi et la médecine étaient contre l'Église: l'avortement est permis au Brésil en cas de viol et l'accouchement aurait été dangereux pour la jeune fille et ses enfants. Pourtant, l'Église a quand même décidé d'excommunier sa mère et les médecins, qui ont pourtant tenté de lui venir en aide. Comme si le viol était un crime moins grand que l'avortement.
Bien sûr, le beau-père a été jeté en prison, mais la peine qu'il a à purger est bien moins pire que celle des deux jeunes filles qu'il a agressées, ainsi que des gens qui ont été excommuniés. En effet, pour les Brésiliens, la religion est très importante et avec l'excommunication vient l'exclusion de la société. Et après la mort, c'est direction l'enfer.
Au final, les conséquences sont moins graves pour celui qui a violé deux jeunes filles que pour ceux qui ont sauvé la vie de l'une d'elles.
C'est tout simplement dégueulasse.
Bien sûr, le beau-père a été jeté en prison, mais la peine qu'il a à purger est bien moins pire que celle des deux jeunes filles qu'il a agressées, ainsi que des gens qui ont été excommuniés. En effet, pour les Brésiliens, la religion est très importante et avec l'excommunication vient l'exclusion de la société. Et après la mort, c'est direction l'enfer.
Au final, les conséquences sont moins graves pour celui qui a violé deux jeunes filles que pour ceux qui ont sauvé la vie de l'une d'elles.
C'est tout simplement dégueulasse.
lundi 9 mars 2009
L'importance des cours d'option
Au P.E.I. de la Rochebelle, nous avons, en secondaire trois, le choix entre trois types d'art: les arts plastiques, les arts dramatiques et la musique. Étant un excellent musicien, à défaut d'être un piètre dessinateur et acteur, je me suis tourné vers cette discipline, dans laquelle j'avais plus de chances de succès. Il faut aussi dire que je suis un plus grand fan de musique que d'art ou de théâtre; c'était donc un parti pris. La raison pour laquelle je vous saoule avec les platitudes de ma vie, c'est parce qu'on essaie d'augmenter le nombre de cours de mathématiques et de sciences, au détriment des cours d'option.
Bien sûr, les mathématiques et les sciences sont deux branches maîtresses du monde d'aujourd'hui, mais les arts sont tout aussi importants. Comme on peut le lire ici, ici et ici, la musique a plusieurs bienfaits. Pour vous résumer ces trois articles, la musique a un impact direct sur l'intelligence. Elle contribue aussi au bien-être, "à la créativité, la reflexion, la résolution de problèmes, la capacité à poursuivre un projet à long terme et la connaissance des autres."
Il est aussi démontré que l'apprentissage de la musique améliore les résultats académiques. C'est donc une bonne façon d'aider les élèves à l'école.
Peut-être que vous le saviez déjà. Et les gens qui veulent nous enlever des cours d'art, sont-ils au courant?
Pourquoi faut-il qu'on augmente le nombre de cours de mathématiques et de sciences au détriment des cours d'option?
Mais surtout, sommes-nous conscients des enjeux de cet échange?
Tant de question sans vraiment de réponse.
En tout cas, une chose est certaine: l'art, c'est l'âme. N'aimer nulle forme d'art, c'est ne pas en avoir une.
Bien sûr, les mathématiques et les sciences sont deux branches maîtresses du monde d'aujourd'hui, mais les arts sont tout aussi importants. Comme on peut le lire ici, ici et ici, la musique a plusieurs bienfaits. Pour vous résumer ces trois articles, la musique a un impact direct sur l'intelligence. Elle contribue aussi au bien-être, "à la créativité, la reflexion, la résolution de problèmes, la capacité à poursuivre un projet à long terme et la connaissance des autres."
Il est aussi démontré que l'apprentissage de la musique améliore les résultats académiques. C'est donc une bonne façon d'aider les élèves à l'école.
Peut-être que vous le saviez déjà. Et les gens qui veulent nous enlever des cours d'art, sont-ils au courant?
Pourquoi faut-il qu'on augmente le nombre de cours de mathématiques et de sciences au détriment des cours d'option?
Mais surtout, sommes-nous conscients des enjeux de cet échange?
Tant de question sans vraiment de réponse.
En tout cas, une chose est certaine: l'art, c'est l'âme. N'aimer nulle forme d'art, c'est ne pas en avoir une.
samedi 7 mars 2009
B.I.L.A.N.
Blogue Inintelligible Lacunaire Amorphe Nouvellement-réitéré. Bon, j'ai triché un peu sur le "N", mais passons. Ces quatre (bon, d'accord, cinq avec le "réitéré") mots tracent grossièrement les traits du visage que j'ai donné à mon blogue, au fil des articles que j'y ai publiés. Inintelligible car il m'arrive d'être peu clair, lacunaire car je ne suis pas très régulier en ce qui concerne ma pratique carnetière, amorphe parce que mon blogue reste trop souvent impartial et ancré sur des faits plutôt que sur mon opinion et Nouvellement-réitéré, parce qu'à chaque fois que je tente de changer ces mauvais habitudes, rien n'y fait et les mêmes tendances négatives ressurgissent, tels de noirs phénix, ressuscitant sans crier gare, ou alors comme des résolutions du nouvel an qu'on a déjà laissées pour compte passée la semaine première. Et revoilà les phrases trop longues. Bien sûr, en ce qui concerne les retards et les notes non-publiées, j'ai une excuse pour la semaine passée: j'étais en voyage au Mexique.
Quoi faire pour y remédier? Pour enterrer pour de bon cette poignée de calamités qui font de mon blogue un parfait fatras (il m'arrive d'"inventer" des mots, pour ensuite me rentre compte qu'ils existent bel et bien) de pièces de casse-têtes forcées les unes dans les autres, dans un désordre digne d'un sinistre?
Un jour sur trois au minimum, je m'engage à publier un nouvel article sur ce blogue. C'est autant pour moi que pour vous, lecteurs.
À dans trois jours, ou avant.
P.S.: J'ai libellé ce "message" sous "Article de Qualité", mon premier à date. Je trouve que c'est une belle reprise en main, ainsi qu'un bel usage de la langue française.
Quoi faire pour y remédier? Pour enterrer pour de bon cette poignée de calamités qui font de mon blogue un parfait fatras (il m'arrive d'"inventer" des mots, pour ensuite me rentre compte qu'ils existent bel et bien) de pièces de casse-têtes forcées les unes dans les autres, dans un désordre digne d'un sinistre?
Un jour sur trois au minimum, je m'engage à publier un nouvel article sur ce blogue. C'est autant pour moi que pour vous, lecteurs.
À dans trois jours, ou avant.
P.S.: J'ai libellé ce "message" sous "Article de Qualité", mon premier à date. Je trouve que c'est une belle reprise en main, ainsi qu'un bel usage de la langue française.
Libellés :
Article de Qualité,
Blogue,
Critique,
Éducation,
Réflexion
samedi 21 février 2009
Le saviez-vous?
Hé bien pas moi et je ne suis probablement pas le seul. Cette vidéo est pourtant assez vieille, de plus de deux ans en fait, mais qu'importe, car les faits qui y sont rapportés n'en sont pas moins vrais. En un peu plus de huit minutes, vous apprendrez plus qu'en une journée moyenne, ou en tout cas, en une journée d'école moyenne. Malheureusement, elle ne fait que présenter des vérités sans vraiment tirer de conclusions, ce que je me suis efforcé de faire ci-bas (sous la vidéo). Jusque là, bon visionnement!
"Nous sommes en train de préparer des élèves pour des métiers et des technologies qui n'existent pas encore... pour résoudre des problèmes dont nous n'avons même pas encore conscience."
Le monde évolue de façon de plus en plus exponentielle. On estime qu'en 2013, un ordinateur de seulement 1000$ sera aussi puissant que les cerveaux de la race humaine toute entière. Cela signifie qu'on pourra trouver des solutions à des problèmes infiniment complexes en un clin d'oeil, mais aussi qu'un ordinateur pourra réfléchir à la place de tout le monde. Cette exponentiation est-elle dangereuse? Est-il possible qu'éventuellement, nous perdions le contrôle de toute cette technologie? Finalement, se peut-il qu'un jour, l'être humain devienne lui-même obsolète?
"Nous sommes en train de préparer des élèves pour des métiers et des technologies qui n'existent pas encore... pour résoudre des problèmes dont nous n'avons même pas encore conscience."
Le monde évolue de façon de plus en plus exponentielle. On estime qu'en 2013, un ordinateur de seulement 1000$ sera aussi puissant que les cerveaux de la race humaine toute entière. Cela signifie qu'on pourra trouver des solutions à des problèmes infiniment complexes en un clin d'oeil, mais aussi qu'un ordinateur pourra réfléchir à la place de tout le monde. Cette exponentiation est-elle dangereuse? Est-il possible qu'éventuellement, nous perdions le contrôle de toute cette technologie? Finalement, se peut-il qu'un jour, l'être humain devienne lui-même obsolète?
Libellés :
Multimédia,
Pédagogie,
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Technologie,
Vidéos
dimanche 15 février 2009
Pourquoi Bloguer?
Comme je me le dois, en bon apprenant, je m'interroge de temps à autre sur la façon dont j'apprends et sur les outils que j'emploie pour élargir mon bien mince cercle de connaissances. Il y a cinq façons de recueillir le savoir, mais une seule d'apprendre. Les cinq sens permettent la collecte de l'information, et le cerveau son analyse. Tous possèdent ces six facultés primaires de l'être humain, la sixième à différents niveaux qu'on mesure en Q.I. Bref, apprendre se passe en deux temps: la captation de l'information, puis son décryptage. C'est comme cela qu'on peut archiver et indexer les acquis, pour ensuite établir des liens entre le connu et, éventuellement, comprendre et résoudre certains problèmes ou énigmes.
Ce n'est pas la première fois que je réfléchis sur le "Pourquoi" de ma pratique carnetière. On me voit ici, à ma seizième note, déjà expert en la matière (notez le sarcasme). Dans cette note, je me concentrais surtout sur l'apprentissage en communauté (blogosphère) et l'accessibilité, ainsi que le commentariat (ne cherchez pas ce mot dans votre dictionnaire, il n'existe pas).
Aujourd'hui, je suis en mesure de parler différemment et avec de la véritable expertise. En fait, ce qui est bien avec un blogue, c'est qu'on ne devient jamais vraiment expert. On en a toujours à apprendre et à dire, peu importe qui on est et ce qu'on pense. C'est là toute la beauté de la chose. Votre blogue vous permet de concrétiser vos pensées et de les exposer au public, de recevoir des opinions sur vos réflexions et sur ce que vous apprenez.
Je me lasse d'écrire de tels textes. Platitudes, selon moi. Ça manque d'humour, ça manque de charme et ça ne me plaît pas. Au menu pour les prochaines notes: images, musique et vidéos! :)
Ce n'est pas la première fois que je réfléchis sur le "Pourquoi" de ma pratique carnetière. On me voit ici, à ma seizième note, déjà expert en la matière (notez le sarcasme). Dans cette note, je me concentrais surtout sur l'apprentissage en communauté (blogosphère) et l'accessibilité, ainsi que le commentariat (ne cherchez pas ce mot dans votre dictionnaire, il n'existe pas).
Aujourd'hui, je suis en mesure de parler différemment et avec de la véritable expertise. En fait, ce qui est bien avec un blogue, c'est qu'on ne devient jamais vraiment expert. On en a toujours à apprendre et à dire, peu importe qui on est et ce qu'on pense. C'est là toute la beauté de la chose. Votre blogue vous permet de concrétiser vos pensées et de les exposer au public, de recevoir des opinions sur vos réflexions et sur ce que vous apprenez.
Je me lasse d'écrire de tels textes. Platitudes, selon moi. Ça manque d'humour, ça manque de charme et ça ne me plaît pas. Au menu pour les prochaines notes: images, musique et vidéos! :)
dimanche 8 février 2009
Réécriture des libellés
Les libellés sur mon blogue sont un peu pèle-mêle, en raison du fait que je les ai déterminés après avoir écrit chaque note en fonction du contenu de celles-ci. Après cette phrase bizarrement écrite, laissez-moi vous annoncer que je vais redéfinir les libellés qui serviront à relier mes articles pour permettre à mes visiteurs de lire des articles traitant du même thème que celui qu'ils viennent de lire. Après une autre phrase dont l'étrangeté syntaxique m'impressionne moi-même, permettez-moi de vous présenter les nouveaux libellés et ceux qui vont rester.
Actualité - Pour parler de nouvelles et de journalisme.
Article de Qualité - Un libellé que je réserverai à mes meilleurs articles.
Anglais - Pour les moments où j'ai envie d'écrire en anglais.
Blogue - Pour traiter de tout et de rien qui se rapporte au concept de "blogue".
Multimédia - Pour parler de musique, de vidéos, de films, etc.
Opinion - Pour donner mon opinion sur mille et un sujets.
Pédagogie - Pour causer de tout ce qui concerne l'éducation, l'école et la réussite éducative.
Réflexion - Pour réfléchir sur mille et un sujets.
Huit libellés, cela devrait être assez, du moins si on parle en terme de rameaux, de branches maîtresses sur lesquelles j'ajouterai probablement des brindilles de temps à autre.
Actualité - Pour parler de nouvelles et de journalisme.
Article de Qualité - Un libellé que je réserverai à mes meilleurs articles.
Anglais - Pour les moments où j'ai envie d'écrire en anglais.
Blogue - Pour traiter de tout et de rien qui se rapporte au concept de "blogue".
Multimédia - Pour parler de musique, de vidéos, de films, etc.
Opinion - Pour donner mon opinion sur mille et un sujets.
Pédagogie - Pour causer de tout ce qui concerne l'éducation, l'école et la réussite éducative.
Réflexion - Pour réfléchir sur mille et un sujets.
Huit libellés, cela devrait être assez, du moins si on parle en terme de rameaux, de branches maîtresses sur lesquelles j'ajouterai probablement des brindilles de temps à autre.
samedi 7 février 2009
Le droit à l'internet.
Et si, demain, vous n'aviez plus le droit d'utiliser internet librement? Et si, demain, on contrôlait les sites que vous pouvez visiter ou pas, et qu'on vous faisait payer pour visiter tel ou tel site? Et encore si, vous n'aviez plus le droit de vous exprimer sur le net?
L'internet est le service par excellence pour à peu près tout.
Sur internet, on peut communiquer rapidement avec d'autres internautes, envoyer du courrier électronique, regarder des vidéos, écouter de la musique, lire des livres et des textes en tout genre, regarder des images, publier nos propres créations... bref, l'internet peut remplacer, du moins en partie, le téléphone, le courrier traditionnel, la télévision, les livres, les musées, les galleries d'art, les journaux, les revues, la radio, les jeux vidéo, etc. Bien sûr, communiquer avec quelqu'un n'est pas pareil lorsqu'une machine sans émotions, sentiments ou intelligence vous sépare de votre interlocuteur, lire n'est pas pareil lorsqu'on ne tient pas l'écrit dans nos mains, observer une œuvre d'art ou une pièce d'un musée est plus intéressant lorsqu'on y est en vrai, et ainsi de suite.
Mais grâce à l'internet, on accède à tout cela sans se déplacer, avec rapidité et efficacité. On a aussi le pouvoir d'être nous-même auteur et publicateur, un pouvoir grandiose.
Bien sûr, l'internet, c'est aussi les spammeurs, les pop-ups et autres énervements, mais ce ne sont pas de bien grands défauts pour une si prodigieuse chose.
Maintenant de retour sur le sujet, connaissez-vous le concept de neutralité de réseaux? C'est grâce à cela que nous sommes libres d'utiliser l'internet comme bon nous semble. C'est grâce à cela que vous lisez ce texte en ce moment, ou que vous avez pu changer de page plus tôt pour aller faire autre chose.
Alors, où est le problème? Le problème: cette neutralité, nous risquons de la perdre. Sans cela, l'internet sera comme le câble et vous ne pourrez regarder que ce qui est sur votre menu.
Quoi faire? Pour l'instant, on ne peut pas faire grand chose d'autre que signer des pétitions et répandre la nouvelle, comme je suis en train de le faire. Obama est en faveur de la liberté d'usage d'internet, donc nous semblons plutôt biens partis, mais rien n'est gagné.
Signez, ou encore mieux, parlez-en à d'autres!
L'internet est le service par excellence pour à peu près tout.
Sur internet, on peut communiquer rapidement avec d'autres internautes, envoyer du courrier électronique, regarder des vidéos, écouter de la musique, lire des livres et des textes en tout genre, regarder des images, publier nos propres créations... bref, l'internet peut remplacer, du moins en partie, le téléphone, le courrier traditionnel, la télévision, les livres, les musées, les galleries d'art, les journaux, les revues, la radio, les jeux vidéo, etc. Bien sûr, communiquer avec quelqu'un n'est pas pareil lorsqu'une machine sans émotions, sentiments ou intelligence vous sépare de votre interlocuteur, lire n'est pas pareil lorsqu'on ne tient pas l'écrit dans nos mains, observer une œuvre d'art ou une pièce d'un musée est plus intéressant lorsqu'on y est en vrai, et ainsi de suite.
Mais grâce à l'internet, on accède à tout cela sans se déplacer, avec rapidité et efficacité. On a aussi le pouvoir d'être nous-même auteur et publicateur, un pouvoir grandiose.
Bien sûr, l'internet, c'est aussi les spammeurs, les pop-ups et autres énervements, mais ce ne sont pas de bien grands défauts pour une si prodigieuse chose.
Maintenant de retour sur le sujet, connaissez-vous le concept de neutralité de réseaux? C'est grâce à cela que nous sommes libres d'utiliser l'internet comme bon nous semble. C'est grâce à cela que vous lisez ce texte en ce moment, ou que vous avez pu changer de page plus tôt pour aller faire autre chose.
Alors, où est le problème? Le problème: cette neutralité, nous risquons de la perdre. Sans cela, l'internet sera comme le câble et vous ne pourrez regarder que ce qui est sur votre menu.
Quoi faire? Pour l'instant, on ne peut pas faire grand chose d'autre que signer des pétitions et répandre la nouvelle, comme je suis en train de le faire. Obama est en faveur de la liberté d'usage d'internet, donc nous semblons plutôt biens partis, mais rien n'est gagné.
Signez, ou encore mieux, parlez-en à d'autres!
lundi 2 février 2009
Mise à jour 0.2
Avec un peu de chance, un de ces 4, je vais retrouver un peu de temps pour bloguer et un peu d'inspiration pour trouver des titres meilleurs que "Mise à jour", ou encore pire, "Mise à jour 0.2", des titres qui ne démontrent en rien mon imagination fertile. Comme je me le dois bien, j'aimerais bien m'excuser à ceux qui ne m'ont pas encore enlevé de leurs favoris ou de leur flux RSS. J'admets avoir arrêté de publier depuis un certain bout de temps. Le fait n'est pas que je manque de temps, c'est que je suis trop las. Je travaille au ralenti, au rythme de l'école. Il est temps de me reprendre en main et de recommencer à utiliser mon blogue, mon propre outil d'apprentissage.
Deux choses:
-Félix m'a envoyé ses textes. Il me reste à peaufiner les miens et à les lui renvoyer.
-Google Earth fait des progrès...
Deux choses:
-Félix m'a envoyé ses textes. Il me reste à peaufiner les miens et à les lui renvoyer.
-Google Earth fait des progrès...
vendredi 23 janvier 2009
Mise à jour
Cela doit bien faire plus d'un mois que je n'ai pas blogué pour parler d'autre chose que du guide. En fait, pour vous faire des excuses à propos du retard du guide. Cette note se veut un retour vers mon blogue que j'ai délaissé il y a déjà trop longtemps. J'avais fait le voeux, à moi-même, de ne plus bloguer tant que le guide ne serait pas publié, voeux insensé que j'ai bien fait de laisser tomber. Bon, je m'éternises encore, mais peu importe.
Premièrement, un commentaire sur l'assermentation d'Obama: Bravo, cher monsieur. Vous avez tourné une page de l'histoire américaine. Reste encore à voir ce que vous allez écrire dessus.
Deuxièmement, un commentaire sur le nouveau programme d'anglais de la réforme. Jamais je n'ai été aussi mauvais en anglais depuis la sixième année, et pourtant je suis bilingue. Comme je suis dans l'absence d'un environnement dans lequel je peux pratiquer l'anglais parlé et écrit, il a grandement régressé. Mes parents n'étant pas bilingues et la plupart de mes amis était soit non-bilingues ou inintéressés, le seul endroit où je pouvais pratiquer mon anglais était l'école. L'accent va sur l'imparfait, car en effet, ce n'est plus le cas. Les cours sont dédiés à écouter la professeure expliquer mille et un sujets avec le moins de concision possible. Ayant passé d'un cours où l'ouverture d'esprit et le potential de l'individu étaient mis de l'avant, autrement dit un cours où l'on voit les élèves comme des chandelles à allumer par le feu de la passion d'apprendre... à un cours on les voit comme de vulgaires récipients, destinés à être remplis d'eau, de savoir vide.
Troisièmement, encore un autre commentaire, cette fois sur mon ipod touch. J'en ai en effet reçu un à Noël, une véritable merveille de technologie. J'ai accès, entres autres, à tous les services de Google (incluant mail, maps, earth et tous les autres), à Safari, à Internet, à une calculatrice, à itunes, à ma musique, à mes photos, à mes vidéos, et à une foule d'applications gratuites. Parmis ces applications, Stanza, qui me permet de télécharger des centaines de milliers de e-books gratuits et de les lire directement sur mon ipod touch. En deux semaines, j'ai donc pu lire les premiers chapitres de "20000 lieues sous les mers", "White Fang" et d'un livre sur comment bien écrire l'anglais.
Finalement, je souhaiterais annoncer que Félix a certifié qu'il m'enverrait bientôt ses textes. Une fois que je les aurai, j'uniformiserai le tout et je le renverrai à Félix pour qu'il puisse approuver. Puis, le guide sera publié, enfin.
Premièrement, un commentaire sur l'assermentation d'Obama: Bravo, cher monsieur. Vous avez tourné une page de l'histoire américaine. Reste encore à voir ce que vous allez écrire dessus.
Deuxièmement, un commentaire sur le nouveau programme d'anglais de la réforme. Jamais je n'ai été aussi mauvais en anglais depuis la sixième année, et pourtant je suis bilingue. Comme je suis dans l'absence d'un environnement dans lequel je peux pratiquer l'anglais parlé et écrit, il a grandement régressé. Mes parents n'étant pas bilingues et la plupart de mes amis était soit non-bilingues ou inintéressés, le seul endroit où je pouvais pratiquer mon anglais était l'école. L'accent va sur l'imparfait, car en effet, ce n'est plus le cas. Les cours sont dédiés à écouter la professeure expliquer mille et un sujets avec le moins de concision possible. Ayant passé d'un cours où l'ouverture d'esprit et le potential de l'individu étaient mis de l'avant, autrement dit un cours où l'on voit les élèves comme des chandelles à allumer par le feu de la passion d'apprendre... à un cours on les voit comme de vulgaires récipients, destinés à être remplis d'eau, de savoir vide.
Troisièmement, encore un autre commentaire, cette fois sur mon ipod touch. J'en ai en effet reçu un à Noël, une véritable merveille de technologie. J'ai accès, entres autres, à tous les services de Google (incluant mail, maps, earth et tous les autres), à Safari, à Internet, à une calculatrice, à itunes, à ma musique, à mes photos, à mes vidéos, et à une foule d'applications gratuites. Parmis ces applications, Stanza, qui me permet de télécharger des centaines de milliers de e-books gratuits et de les lire directement sur mon ipod touch. En deux semaines, j'ai donc pu lire les premiers chapitres de "20000 lieues sous les mers", "White Fang" et d'un livre sur comment bien écrire l'anglais.
Finalement, je souhaiterais annoncer que Félix a certifié qu'il m'enverrait bientôt ses textes. Une fois que je les aurai, j'uniformiserai le tout et je le renverrai à Félix pour qu'il puisse approuver. Puis, le guide sera publié, enfin.
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vendredi 16 janvier 2009
C'en est assez.
Vous en avez assez d'attendre, moi aussi. Cela fait quelques mois que j'essaie d'obtenir la partie du guide de Félix, mais il semble obstinément entêté à éviter de me la faire parvenir. C'est pourquoi je vais lui lancer un ultimatum. J'ai déjà fait deux notes dans lesquelles j'annonçais la sortie prochaine du guide, en pensant que j'allais recevoir bientôt le travail de mon collègue pour qu'on puisse enfin tout finaliser. Cependant, rien de tout cela n'est arrivé et me revoilà, encore, à vous faire des excuses pour le retard. Vous, monsieur Giroux, vous, vos élèves et vous, tous mes autres visiteurs qui attendent l'arrivée du guide.
Je m'inquiète de la tournure qu'ont pris les évènements. Maintenant que j'ai demandé à Félix par email, sur msn et même en personne, à répétition pendant quelques (environ trois) mois, j'ai peur que vous vous soyez lassés.
Pour en revenir à l'ultimatum... je fixe la date du 1 Février comme date de sortie du guide. Il n'y aura pas de retard cette fois. Cela laisse deux options: soit Félix me fait parvenir sa partie, on met le tout en commun et on le finalise, soit je ne publie que ma partie. Franchement, j'aimerais beaucoup mieux que ce soit la première option qui se produise. Tout ce temps passé à travailler sur le guide, je l'espère, ne sera pas jeté à l'eau.
Encore une fois, je suis désolé, et si je ne l'avais dit précédemment, alors je le suis doublement.
L'ultimatum est lancé. C'est entre tes mains, Félix.
Je m'inquiète de la tournure qu'ont pris les évènements. Maintenant que j'ai demandé à Félix par email, sur msn et même en personne, à répétition pendant quelques (environ trois) mois, j'ai peur que vous vous soyez lassés.
Pour en revenir à l'ultimatum... je fixe la date du 1 Février comme date de sortie du guide. Il n'y aura pas de retard cette fois. Cela laisse deux options: soit Félix me fait parvenir sa partie, on met le tout en commun et on le finalise, soit je ne publie que ma partie. Franchement, j'aimerais beaucoup mieux que ce soit la première option qui se produise. Tout ce temps passé à travailler sur le guide, je l'espère, ne sera pas jeté à l'eau.
Encore une fois, je suis désolé, et si je ne l'avais dit précédemment, alors je le suis doublement.
L'ultimatum est lancé. C'est entre tes mains, Félix.
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